généralités militaires sur Bayonne

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Spoiler:

A suivre.

Nos chanteurs, là ils sont disciplinés....enfin presque...
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A suivre.

C'est au tour de l'Aramis.

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et c'est la fin...la preuve le quai est vide et pour l'éternité

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Mais restent encore pour combien de temps...là mystère...
La vedette des AFMAR l'EIDER et la vedette des douanes.
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Je ne parle même pas de la vedette des GDM et du GIF EXPLORER qui se trouvent à l'opposé..

Par contre vous aurez pu remarquer, que ce soit sur le film ou sur les photos, aucun des navires cités si dessus, n'a appareillé   pour accompagner nos deux PSS, ce afin de leur souhaiter comme le veut la coutume, bon vent et belle mer...Il parait que c'est une question de budget...économie de gazole ...je vous laisse méditer.
Par contre d’après ce que j'ai compris, les deux PSS sont attendus en grandes pompes ( dans les deux sens du mot) à Cherbourg.....

Alors là rien n'est moins certain......
Il est des fois des cadeaux que l'on ne souhaite pas forcément recevoir mais comme il est dit dans la chanson: il faut savoir .........

HATOUP

très beau reportage,
merci à notre "fotax" malgré tout beaucoup d'émotion
on fête les fêtes de la mer à Anglet, aujourd'hui, il y aura certainement une pensée pour eux
bonne journée

et

Super reportage

Merci JP

Pour l' Aramis quand il c'est mis à fumé , il m'a fait penser à LA DIEPPOISE , quand elle à été pétaradé ..... Heu .... Les hommes en moins sur le pont .... et la fin différente aussi... Il part vers l'horizon , tandis que le mien s'enfoncer sous l'eau ....    

C'est Ségolène qui va être contente ...

En plus sérieux c'est un très beau reportage bien explicité , avec les commentaires toujours appropriés de Hatoup, et merci d'avoir consacrer tout ce temps pour nous le présenter ....

De rien mes amis.
Demain en soirée je vais commencer le reportage concernant la journée que nous avons passée aux fêtes de la mer d'Anglet, avec une belle ballade en mer.
Mais avant demain matin, je vais à un enterrement: celui de la fermeture de la BNA.
Là je pense que je vais avoir quelques soucis pour vous faire un reportage, car d'une part j'y vais en tant que porte drapeau, mais aussi il y a un protocole à respecter. Je n'aurai pas mon APN, il faudra que je me débouille pour récupérer des photos à l'issue de la cérémonie, c'est prévu, mais pas gagné.

Je vous ai fais une compile de toutes les photos déjà mises en ligne plus haut, avec la musique de circonstances...
Pensez au grand écran.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Jean Paul.

Avant que ça disparaisse des écrans...


Commandement de la Marine à Bayonne

La Marine à Bayonne contribue à l'action de l'État en mer (AEM) : surveillance maritime du champ de tir du Centre d'Essai de Lancement de missiles de la Délégation Générale de l'Armement (DGA), police de la navigation, participation aux luttes contre les pollutions en mer et sur les côtes, participation aux opérations de sauvetages, application des Conventions sur la Bidassoa.
Pour remplir ces missions, elle s’appuie sur plusieurs unités : la Base Navale de l'Adour chargée du soutien logistique des patrouilleurs, des navires de passage et leurs équipages, les patrouilleurs de surveillance de sites Athos et Aramis, la Brigade de Gendarmerie Maritime de l’Adour (BGMA), la VCSM P603 Adour, le Centre d'Essais de Lancement de Missiles (CELM), un navire de soutien, le JIF Xplorer.



Histoire de la Marine nationale en terre basque

La première installation de la Marine en côte basque remonte au 19ème siècle.
En 1873, à la suite d'incidents entre riverains de la Bidassoa, rivière frontalière entre l'Espagne et la France, un navire est envoyé à Hendaye pour y tenir une station. Quelques années plus tard, une petite caserne est construite devant le mouillage du navire.
En 1945, l'implantation s'étend à Saint-Jean-de-Luz.
En 1983, la base navale de l'Adour est créée. Ainsi, la Marine nationale implantée dans la région porte l'appellation Marine Bayonne.

Île des faisans

Une Convention franco-espagnole que les commandants français à Bayonne et espagnols à Saint Sébastien sont chargés de faire appliquer, réglemente les activités sur la rivière Bidassoa et en baie du Figuier. Mais bien avant cela, en 1659, entre les rives espagnoles et françaises, sur l'île des Faisans, fût signé le traité des Pyrénées qui mit fin à 20 ans de guerre entre la France et l'Espagne. Depuis ce temps là, une tradition, largement répandue dans les deux marines, donne aux deux commandants le titre de vice-roi de l’Île des Faisans.



La Marine et la Bidassoa

Depuis 125 ans, la Marine nationale et la Marine espagnole détachent des éléments sur la Bidassoa afin de maintenir la paix publique et de prévenir tout incident entre riverains, sur la rivière et son embouchure.
Une convention franco-espagnole que les commandants Français à Bayonne et Espagnols à Saint-Sébastien sont chargés de faire appliquer, réglemente les activités sur la rivière et en baie du Figuier.
Les deux commandants ont aussi la charge de l'entretien de l'île des Faisans où fut signé le traité des Pyrénées en 1659, qui mit fin à 20 années de guerre entre la France et l'Espagne. Une tradition, largement répandue dans les deux marines donne aux deux commandants le titre de vice-roi de l'île des Faisans.

Pierre loti

Un des prédécesseurs du commandant de la Marine à Bayonne sur la Bidassoa, fut le lieutenant de vaisseau Julien VIAUD, alias Pierre LOTI en littérature, qui écrivit son célèbre roman " Ramuntcho" au cours de son affectation.



Le personnel de Marine Bayonne

Environ 80 personnes, sous les ordres du capitaine de frégate Commandant la Marine à Bayonne, servent sur la base navale ou à bord des bâtiments. Cela représente :

5 officiers
55 officiers mariniers
8 gendarmes (sur la vedette Adour)
10 quartiers-maîtres et marins
13 civils, ouvriers et fonctionnaires
La Base navale de l'Adour par l'intermédiaire du Bureau des Réserves, d'Information et de Rayonnement (BRIR) de la Marine à Bayonne, fait également appel aux réservistes pour renforcer le personnel d'active dans le cadre de missions ponctuelles. Il recrute et administre les réservistes de la marine résidant dans les départements des Landes (40), Hautes-Pyrénées (65) et Pyrénées-Atlantiques (64). Le BRIR soutient les préparations militaires marine (PMM) de Bayonne et de Tarbes.



Les moyens de la Marine nationale à Bayonne

La Base navale de l'Adour

La base navale est chargée du soutien logistique des patrouilleurs, des navires de passage et leurs équipages. Pour cela, elle dispose de moyens de maintenance. La Base Navale de l'Adour est constituée d'un équipage de 80 hommes et femmes dont 13 civils ainsi que des patrouilleurs de surveillance de sites Athos et Aramis .

Les patrouilleurs de surveillance de sites Athos et Aramis

Ces deux bâtiments ont pour mission principale le soutien maritime du Centre d’Essais de Lancement de Missiles (CELM), en particulier la surveillance du champ de tir du site des Landes, la sauvegarde maritime et la surveillance des pêches. Chacun des patrouilleurs est armé par 18 hommes, commandé par un officier.
Les patrouilleurs de surveillance de sites Athos et Aramis d’une longueur de 32 m, ont une vitesse de 30 nœuds. Ils sont équipés d’une mitrailleuse de 12,7 mm.

La Brigade de Gendarmerie Maritime de l’Adour (BGMA)

Sous le contrôle opérationnel du commandant de la Marine à Bayonne, la BGMA est une force de police chargée du maintien de la paix publique sur le domaine maritime et en mer.
La brigade arme la VCSM P603 Adour de 20m de long et dont la vitesse atteint 30 nœuds.
Elle participe aux missions de surveillance de la navigation et de la pêche de l’embouchure de la Gironde jusqu’à la frontière espagnole. La brigade est une composante importante de l’action de l’Etat en mer (AEM) dans le golfe de Gascogne.

Le Centre d'Essais de Lancement de Missiles (CELM)

Situé à Biscarrosse, dans les Landes, il emploie des moyens maritimes nécessaires pour l'emploi et la récupération des cibles et munitions de tous gabarits.
Il utilise en permanence un navire de soutien, le JIF Xplorer, disposant de moyens de levage (portique, grues) et embarquant à son bord des plongeurs et un robot sous-marin capables d'intervenir en profondeur.
Ce navire, le JIF Xplorer, appartenant à la société JIFMAR Offshore Services, affrété par la DGA, stationne à la base navale de l'Adour.
En cas d'indisponibilité, un concours ponctuel peut être apporté par des remorqueurs de la Marine Nationale ou par des moyens de sociétés privées.



La Marine sur la Bidassoa

Actuellement, la présence de la Marine Nationale sur la Bidassoa est assurée par :
les patrouilles de la brigade de gendarmerie maritime de l'Adour ;
les patrouilles sur le cours de la rivière par les marins de la base navale de l'Adour ;
une permanence tenue au port de plaisance d'Hendaye, le mardi et le jeudi de chaque semaine de 9h30 à 11h30.
Gestion des eaux de la Bidassoa

Rôle de la Marine à Bayonne dans l'aire de la convention franco-espagnole du 14 juillet 1959, relative à la pêche en Bidassoa et en baie du Figuier :

- Le Traité des limites du 2 décembre 1856 , qui partage les eaux de la Bidassoa en trois zones (française, espagnole et commune), définit une législation franco-espagnole.
- La Convention du 27 mars 1901 fixe le statut particulier de l'île des Faisans, où fut signé l'accord historique par le cardinal Mazarin, en un condominium sur lequel la souveraineté est exercée tour à tour par la France et l'Espagne pendant six mois.
- La convention franco-espagnole du 14 juillet 1959 attribue aux commandants dans son article 24, la responsabilité d'assurer, dans la baie du Figuier et les eaux de la Bidassoa, l'ordre public et le contrôle de la pêche.
- L'accord franco-espagnol du 18 mars 1992 publié par le décret n°92-1267 du 2 décembre 1992, fixe les conditions de survol du territoire français par les appareils desservant l'aéroport de Fontarrabie (Espagne).

Ordonnances dont le commandant de la Marine à Bayonne a en charge l'application :
- Ordonnance du 09 février 1994 portant interdiction de baignade dans le chenal de la Bidassoa.
- Ordonnance du 31 janvier 1973 portant interdiction de la chasse dans les eaux franco-espagnoles de la Bidassoa et de la baie du Figuier.
- Ordonnance du 21 décembre 1990 portant réglementation de la pêche aux oursins dans les eaux régies par la convention franco-espagnole du 14 juillet 1959.
- Ordonnance du 21 décembre 1990 portant réglementation de la plongée et de la pêche sous-marine dans les eaux régies par la convention franco-espagnole du 14 juillet 1959.
- Ordonnance du 21 novembre 1995 portant réglementation des activités de canoë-kayak, rafting, hydrospeed et pêche dans les eaux régies par la convention franco-espagnole du 14 juillet 1959.
- Ordonnance du 02 juillet 2014 portant règlement sur les periodes de pêche, tailles de poissons et appâts.
- Ordonnance du 24 avril 2007 portant réglementation de la circulation et du stationnement dans les eaux franco-espagnoles.
- Ordonnance du 10 mai 2011 portant réglementation de la pêche à la pibale (ou civelle).
- Ordonnance du 24 avril 2007 portant réglementation de la récupération (et du gardiennage) des embarcations à la dérives.
- Ordonnance du 23 octobre 1998 portant réglementation d'extraction de matériaux sableux et de graves.
- Ordonnance du 24 avril 2007 portant réglementation des activités de scooters de mer.
- Ordonnance du 24 avril 2007 portant réglementation des activités nautiques à caractère commercial.
- Ordonnance du 21 décembre 1990 portant réglementation du ramassage des algues épaves.

Gestion des mouillages en baie de Chingudy à Hendaye

Baie de Chingoudy
La gestion des mouillages en baie de Chingoudy a pour but de garantir la circulation et la sécurité des utilisateurs et des riverains sur la zone de mouillage et sur la Bidassoa. Elle prend également en compte les servitudes aériennes de l'aéroport de Fontarrabie. Seul le commandant de la Marine à Bayonne détient le droit d'accorder ou de refuser une autorisation de mouillage dans les eaux sous souveraineté française en baie de Chingoudy.
Pour obtenir toutes les informations concernant la gestion des autorisations de mouillage et également des cartes de pêche, vous pouvez vous rendre à la permanence hebdomadaire qui a lieu le mardi, de 9h30 à 11h30, à la capitainerie du port de plaisance d’Hendaye. La demande d'autorisation de mouillage doit être complétée des renseignements demandés et doit être obligatoirement accompagnée d'une copie de l'attestation d'assurance. Cette demande d'autorisation est gratuite.
Textes relatifs à cette zone de mouillage :
- Décision du 27 janvier 2012 réglementant la gestion de la liste d'attente pour l'attribution d'une place de mouillage en baie de Txingudi
- Décision du 16 mai 2011 réglementant les mouillages d'embarcations en zone française en baie de Chingudy
- Demande d'autorisation de mouillage en baie de Txingudi

Gestion informatisée des autorisations de mouillage et des cartes de pêche :
Pour les besoins du suivi des activités sur la Bidassoa et en baie de Chingudy, plusieurs fichiers sont constitués : autorisations de mouillage, liste d'attente, liste des cartes de pêches ainsi qu'un fichier inventaire des photos des bateaux sur zone. La gestion de ces fichiers a fait l'objet d'une déclaration auprès de la commission nationale informatique et libertés (CNIL).

Je viens de recevoir de la part de l'O2 de la BNA quatre photos .  
Je les visionne et vous tiens au courant.
Cerise sur le gâteau, FR Aquitaine a interviewé l'O2. Mais avant le journaliste tenait à ce que les porte drapeaux soient dans le champ de la caméra derrière l'officier en second.
Il est donc possible que ce soir on me voit dans le petit écran...

Voici quatre photographies, prises par F. LEBIHAN © Marine Nationale,que le Commandant en second de la base a eu la gentillesse de me faire parvenir.
Je l'en remercie.

Cérémonie présidée par le "PREMAR" Brest.

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Le pavillon est définitivement affalé.

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Remise du fanion et des pavillons au "Premar".

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la suite, même provenance  F. LE BIHAN Marine Nationale.

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Avez vous remarqué, que sur l'avant dernière photo il y a une énorme erreur . Qui va la découvrir?

On t'aperçoit au fond JP, sur la troisième photo...

Toute chose a une fin, mais c'est bien triste.

Bayonne saura rebondir.

vu également sur FR3 régionale  
quant à l'erreur le commandant en second n'est pas aux pas? Ils sont grands les deux..... on va pas chipoter, c'est déjà très triste comme çà, avec tout le pognon que nous doit les grecques on aurait pu garder notre base et autre chose aussi........

As-tu vu ma trombine, lors de l'interw de l'O2

il y a aussi l'insigne para n'est pas à sa place, là effectivement çà fait désordre

Pour Quelen...c'est moi l'erreur?
Pour Lolo, pour un saco tu la fous mal...rien à voir avec le marcher au pas...d'autant plus que je parle de la photo, pas du reportage télé, qui d'ailleurs je n'ai pu voir, car je passe par satellite, donc ça retourne sur Bordeaux.
Alors je réitère ma question...où est cette erreur ? Lolo tu devrez la trouver du premier coup....elle est flagrante. Que nos amis n'étant pas de notre spé ne la trouve pas...ça peu se comprendre...mais pas toi... , et encore il y a des petits futés qui n fouinant un peu seraient capables de la trouver...
Allez au boulot, c'est simple comme bonjour, c'est tellement simple, que je ne vous donnerai pas d'indice . Un jeune d'une PMM trouverait du premier coup..ah ces vieux, faut les booster...pour avoir du résultat.

LORINEF ALAIN a écrit:il y a aussi  l'insigne para n'est pas à sa place, là effectivement çà fait désordre

Et bien voilà quand tu veux...
Nos messages se sont croisés...désolé..pour une fois tu as dégainé plus vite que moi, ou j'écris de trop.

As tu vu les portes drapeaux placés derrière l'O2 lorsqu'elle a été a interviewée ?

bin justement je te parle en premier du reportage FR3
bonne nuit