torpilleurs numérotés 1 à 370 (de 1875 à 1907-1942)
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torpilleurs numérotés 1 à 370 (de 1875 à 1907-1942)
- "100 ans de torpilleurs" par Luc FERON
MARINES Editions - Marines Magazine HS n° 1 de 04/2002 "100 ans de Marine Française - torpilleurs, contre-torpilleurs, escorteurs, cuirassés"
- "Les navires français 1914-1918 en images" par Jean MOULIN
MARINES Editions - 2008
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Torpilleur 89, torpilleur numéroté de 35m dit « Dos de Chameau » (1888-1919) (futur Enclume)
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Torpilleur 89, torpilleur numéroté de 35m dit « Dos de Chameau » (1888-1919)
Construit aux Chantiers Cail à Paris. Commencé en 1885. Mis à flot le 28/05/1887.
Mis en service dans l’année 1888.
Caractéristiques : 54t. 525cv. 35m x 3,4m x 2,1m.
Armement : 2 canons de 37mm + 2 tubes lance-torpilles.
Symbole de coque : 89
1888/1903 : affecté à l’escadre de la Manche à Cherbourg.
1904 : affecté à Brest.
Hiver 1905-1906 : le Torpilleur 89, sans doute avantagé pour ce faire par son « Dos de chameau », traquait les bélugas et les marsouins dans la Baie de Douarnenez. (1)
1907 : rayé.
Change de nom et devient : Enclume.
Pour servir de bâtiment de servitude (patache), et annexe de l’école des mécaniciens de Brest.
1919 : démoli à Brest.
« Le torpilleur 89 est rayé de la 1ère partie de la liste de la Flotte et est inscrit dans la 2ème partie, en remplacement de l'Enclume dont il prendra le nom ».
Cette précédente Enclume était l'ex-torpilleur 53 construit par Claparède en 1882.
Une autre Enclume, ex-torpilleur 235, sera annexe de l'école des mécaniciens à Toulon en 1912, après la condamnation de l'ex-torpilleur 89.
(1) Dans un rapport daté du 31 mai 1906, son commandant — dont on ignore le nom — relatait ce qui suit :
« La pêche à la sardine à la dérive n'a duré que trois mois : Décembre, Janvier, Février, et le rendement en a été faible, par suite du mauvais temps. Quelques filets ont été endommagés par les bélugas. Il est difficile pour un torpilleur de chasser ces animaux qui se tiennent constamment près de la terre, le ressac empêchant le navire de trop approcher de la côte, les canons de 37 mm T.R. pouvant avoir des ricochets. Malgré ces obstacles, le 89 a écarté, en partie, les bélugas de la baie et en a tué et blessé plusieurs.
Les années précédentes, les bélugas étaient nombreux en baie ; ils venaient jusque dans le port de Douarnenez chasser les petits poissons ; cette année, ils n'ont pas paru, et la pêche des sprats, qui a été de courte durée, a été relativement bonne. »
Si l'année 1905 ne fut pas celle des bélugas dans la Baie de Douarnenez, en revanche, elle fut celle des méduses. « En Avril, écrivait le commandant, la baie était couverte de méduses, dont beaucoup avaient de très fortes dimensions. » Toutefois, poursuit-il, « en Mai, ces animaux marins [avaient] presque totalement disparu de la Baie de Douarnenez. »
(« Pêche pendant la saison d'hiver 1905~1906 dans la Baie de Douarnenez », extrait du rapport, du 31 mars 1906, du Commandant du Torpilleur 89 : Rev. mar., Avr.-Juin 1906, T. 169, p. 659 à 661).
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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Torpilleur 89, torpilleur numéroté de 35m dit « Dos de Chameau » (1888-1919)
Construit aux Chantiers Cail à Paris. Commencé en 1885. Mis à flot le 28/05/1887.
Mis en service dans l’année 1888.
Caractéristiques : 54t. 525cv. 35m x 3,4m x 2,1m.
Armement : 2 canons de 37mm + 2 tubes lance-torpilles.
Symbole de coque : 89
1888/1903 : affecté à l’escadre de la Manche à Cherbourg.
1904 : affecté à Brest.
Hiver 1905-1906 : le Torpilleur 89, sans doute avantagé pour ce faire par son « Dos de chameau », traquait les bélugas et les marsouins dans la Baie de Douarnenez. (1)
1907 : rayé.
Change de nom et devient : Enclume.
Pour servir de bâtiment de servitude (patache), et annexe de l’école des mécaniciens de Brest.
1919 : démoli à Brest.
« Le torpilleur 89 est rayé de la 1ère partie de la liste de la Flotte et est inscrit dans la 2ème partie, en remplacement de l'Enclume dont il prendra le nom ».
Cette précédente Enclume était l'ex-torpilleur 53 construit par Claparède en 1882.
Une autre Enclume, ex-torpilleur 235, sera annexe de l'école des mécaniciens à Toulon en 1912, après la condamnation de l'ex-torpilleur 89.
(1) Dans un rapport daté du 31 mai 1906, son commandant — dont on ignore le nom — relatait ce qui suit :
« La pêche à la sardine à la dérive n'a duré que trois mois : Décembre, Janvier, Février, et le rendement en a été faible, par suite du mauvais temps. Quelques filets ont été endommagés par les bélugas. Il est difficile pour un torpilleur de chasser ces animaux qui se tiennent constamment près de la terre, le ressac empêchant le navire de trop approcher de la côte, les canons de 37 mm T.R. pouvant avoir des ricochets. Malgré ces obstacles, le 89 a écarté, en partie, les bélugas de la baie et en a tué et blessé plusieurs.
Les années précédentes, les bélugas étaient nombreux en baie ; ils venaient jusque dans le port de Douarnenez chasser les petits poissons ; cette année, ils n'ont pas paru, et la pêche des sprats, qui a été de courte durée, a été relativement bonne. »
Si l'année 1905 ne fut pas celle des bélugas dans la Baie de Douarnenez, en revanche, elle fut celle des méduses. « En Avril, écrivait le commandant, la baie était couverte de méduses, dont beaucoup avaient de très fortes dimensions. » Toutefois, poursuit-il, « en Mai, ces animaux marins [avaient] presque totalement disparu de la Baie de Douarnenez. »
(« Pêche pendant la saison d'hiver 1905~1906 dans la Baie de Douarnenez », extrait du rapport, du 31 mars 1906, du Commandant du Torpilleur 89 : Rev. mar., Avr.-Juin 1906, T. 169, p. 659 à 661).
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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N°1 (1878-1889)
Construit au chantier Claparède à Saint-Denis (Seine).
Commencé le 25/09/1875. Mis à flot en 1876. Mis en service le 17/05/1878.
Caractéristiques : 101t. 800cv. 38,7m x 4,20m x 2,6m. 2 hélices. 14 nœuds. 9 hommes.
Armement : 1 hampe porte torpille + 2 Torpilles.
Armement en 1883 : 2 canons de 47mm + 1 hampe porte torpille + 1 tube LT de 375mm.
Symbole de coque : 1
Premier bâtiment équipé de torpilles Whitehead.
30/05/1883 : renommé Isard et classé aviso de flottille à Cherbourg après modification de l’armement.
25/07/1889 : rayé.
1889 : démoli à Cherbourg.
*** ***
N°2 (1878-1899)
Construit à Rochefort. Commencé le 21/09/1875. Mis à flot en mars 1876.
Mis en service en juillet 1878.
Caractéristiques : 32t. 300cv. 21,6m x 3,51m x 2,62m.
Armement : 1 hampe porte torpille.
Symbole de coque : 2
N’a jamais quitté Rochefort, sauf une fois pour rallier Dieppe (photo en rapport).
Après des essais laborieux et médiocres la marine renonça à l’utiliser comme torpilleur.
14/12/1880 : il devient le Vergedoux, remorqueur à Rochefort.
1896 : bâtiment annexe de la Dives (aviso-transport mixe 1870-1890) à Rochefort.
Mai 1899 : rayé.
20/04/1900 : vendu pour démolition à Rochefort.
*** ***
N°3 (1877-1885)
Construit au chantier Claparède à Saint-Denis (Seine).
Commencé en 1875. Mis à flot en 1876. Mis en service en juillet 1877.
Caractéristiques : 28t. 280cv. 20,6m x 3m x 2,3m. 1 chaudière locomotive. 1 machine compound. 12,3 nœuds. 8 hommes.
Armement : 1 hampe porte torpille.
Symbole de coque : 3
Juillet 1878 : essai du 1er tube lance torpilles aérien à lancement à air comprimé.
Mars 1883 : devient la Chevrette et désigné comme aviso de flottille après des essais au Havre de chauffe au pétrole.
25/05/1885 : rayé de la 1ère partie de la Flotte et conservé comme remorqueur à la Direction du port de Cherbourg.
1887 : condamné et vendu pour démolition à Cherbourg.
*** ***
N°4 (1876-1883)
Construit au chantier Yarrow en Grande-Bretagne.
Commencé en 1875. Mis à flot en 1876. Mis en service en mars 1876.
Caractéristiques : 18t. 220cv. 22m x 3m x 1,68m. Construction en acier. 8 hommes.
Armement : 1 canon.
Symbole de coque : 4
Bâtiment complètement raté !
1883 : transformé à Cherbourg en aviso de flottille.
24/04/1883 : prend le nom de Djoué et est transporté au Congo pour y être bâtiment de servitude.
23/07/1895 : condamné, puis cédé au Ministère des Colonies.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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N°1 (1878-1889)
Construit au chantier Claparède à Saint-Denis (Seine).
Commencé le 25/09/1875. Mis à flot en 1876. Mis en service le 17/05/1878.
Caractéristiques : 101t. 800cv. 38,7m x 4,20m x 2,6m. 2 hélices. 14 nœuds. 9 hommes.
Armement : 1 hampe porte torpille + 2 Torpilles.
Armement en 1883 : 2 canons de 47mm + 1 hampe porte torpille + 1 tube LT de 375mm.
Symbole de coque : 1
Premier bâtiment équipé de torpilles Whitehead.
30/05/1883 : renommé Isard et classé aviso de flottille à Cherbourg après modification de l’armement.
25/07/1889 : rayé.
1889 : démoli à Cherbourg.
*** ***
N°2 (1878-1899)
Construit à Rochefort. Commencé le 21/09/1875. Mis à flot en mars 1876.
Mis en service en juillet 1878.
Caractéristiques : 32t. 300cv. 21,6m x 3,51m x 2,62m.
Armement : 1 hampe porte torpille.
Symbole de coque : 2
N’a jamais quitté Rochefort, sauf une fois pour rallier Dieppe (photo en rapport).
Après des essais laborieux et médiocres la marine renonça à l’utiliser comme torpilleur.
14/12/1880 : il devient le Vergedoux, remorqueur à Rochefort.
1896 : bâtiment annexe de la Dives (aviso-transport mixe 1870-1890) à Rochefort.
Mai 1899 : rayé.
20/04/1900 : vendu pour démolition à Rochefort.
*** ***
N°3 (1877-1885)
Construit au chantier Claparède à Saint-Denis (Seine).
Commencé en 1875. Mis à flot en 1876. Mis en service en juillet 1877.
Caractéristiques : 28t. 280cv. 20,6m x 3m x 2,3m. 1 chaudière locomotive. 1 machine compound. 12,3 nœuds. 8 hommes.
Armement : 1 hampe porte torpille.
Symbole de coque : 3
Juillet 1878 : essai du 1er tube lance torpilles aérien à lancement à air comprimé.
Mars 1883 : devient la Chevrette et désigné comme aviso de flottille après des essais au Havre de chauffe au pétrole.
25/05/1885 : rayé de la 1ère partie de la Flotte et conservé comme remorqueur à la Direction du port de Cherbourg.
1887 : condamné et vendu pour démolition à Cherbourg.
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N°4 (1876-1883)
Construit au chantier Yarrow en Grande-Bretagne.
Commencé en 1875. Mis à flot en 1876. Mis en service en mars 1876.
Caractéristiques : 18t. 220cv. 22m x 3m x 1,68m. Construction en acier. 8 hommes.
Armement : 1 canon.
Symbole de coque : 4
Bâtiment complètement raté !
1883 : transformé à Cherbourg en aviso de flottille.
24/04/1883 : prend le nom de Djoué et est transporté au Congo pour y être bâtiment de servitude.
23/07/1895 : condamné, puis cédé au Ministère des Colonies.
Sources :
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Construit au chantier Claparède à Saint-Denis (Seine).
Commencé en 1875. Mis à flot en 1876. Mis en service en juillet 1877.
Caractéristiques : 28t. 280cv. 20,6m x 3m x 2,3m. 1 chaudière locomotive. 1 machine compound. 12,3 nœuds. 8 hommes.
Armement : 1 hampe porte torpille.
Symbole de coque : 3
Juillet 1878 : essai du 1er tube lance torpilles aérien à lancement à air comprimé.
Mars 1883 : devient la Chevrette et désigné comme aviso de flottille après des essais au Havre de chauffe au pétrole.
25/05/1885 : rayé de la 1ère partie de la Flotte et conservé comme remorqueur à la Direction du port de Cherbourg.
1887 : condamné et vendu pour démolition à Cherbourg.
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N°4 (1876-1883)
Construit au chantier Yarrow en Grande-Bretagne.
Commencé en 1875. Mis à flot en 1876. Mis en service en mars 1876.
Caractéristiques : 18t. 220cv. 22m x 3m x 1,68m. Construction en acier. 8 hommes.
Armement : 1 canon.
Symbole de coque : 4
Bâtiment complètement raté !
1883 : transformé à Cherbourg en aviso de flottille.
24/04/1883 : prend le nom de Djoué et est transporté au Congo pour y être bâtiment de servitude.
23/07/1895 : condamné, puis cédé au Ministère des Colonies.
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N°7 (1876-1909)
Construit à Brest. Commencé en 1875. Mis à flot en 1876. Mis en service en 1876.
Caractéristiques : 19t. 150cv. 14,8m x 2,8m x 1,3m.
Armement : 2 hampes lance-torpilles.
Symbole de coque : 7
Juin 1888 à 1893 : bâtiment de servitude à Brest du nom de Compagnon annexe de la Chimère (aviso à hélice 1882-1908).
1894-1909 : bâtiment école de Chauffe à Brest.
1910 : vendu pour démolition à Brest.
*** ***
N°8 (1878-1896)
Construit au chantier Thomycroft à Chiswick en Grade-Bretagne.
Commencé en 1877. Mis à flot en 1878. Mis en service en juin 1878.
Caractéristiques : 27t. 300cv. 26,6m x 3,3m x 1,5m.
Armement : 1 hampe lance-torpilles.
Symbole de coque : 8
Basé à Cherbourg.
1889 : refonte, reçoit une chaudière du Temple.
1893-1896 : basé à Lorient.
1897 : vendu pour démolition à Lorient.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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N°3 (1877-1885)
Construit au chantier Claparède à Saint-Denis (Seine).
Commencé en 1875. Mis à flot en 1876. Mis en service en juillet 1877.
Caractéristiques : 28t. 280cv. 20,6m x 3m x 2,3m. 1 chaudière locomotive. 1 machine compound. 12,3 nœuds. 8 hommes.
Armement : 1 hampe porte torpille.
Symbole de coque : 3
Juillet 1878 : essai du 1er tube lance torpilles aérien à lancement à air comprimé.
Mars 1883 : devient la Chevrette et désigné comme aviso de flottille après des essais au Havre de chauffe au pétrole.
25/05/1885 : rayé de la 1ère partie de la Flotte et conservé comme remorqueur à la Direction du port de Cherbourg.
1887 : condamné et vendu pour démolition à Cherbourg.
*** ***
N°4 (1876-1883)
Construit au chantier Yarrow en Grande-Bretagne.
Commencé en 1875. Mis à flot en 1876. Mis en service en mars 1876.
Caractéristiques : 18t. 220cv. 22m x 3m x 1,68m. Construction en acier. 8 hommes.
Armement : 1 canon.
Symbole de coque : 4
Bâtiment complètement raté !
1883 : transformé à Cherbourg en aviso de flottille.
24/04/1883 : prend le nom de Djoué et est transporté au Congo pour y être bâtiment de servitude.
23/07/1895 : condamné, puis cédé au Ministère des Colonies.
*** ***
N°7 (1876-1909)
Construit à Brest. Commencé en 1875. Mis à flot en 1876. Mis en service en 1876.
Caractéristiques : 19t. 150cv. 14,8m x 2,8m x 1,3m.
Armement : 2 hampes lance-torpilles.
Symbole de coque : 7
Juin 1888 à 1893 : bâtiment de servitude à Brest du nom de Compagnon annexe de la Chimère (aviso à hélice 1882-1908).
1894-1909 : bâtiment école de Chauffe à Brest.
1910 : vendu pour démolition à Brest.
*** ***
N°8 (1878-1896)
Construit au chantier Thomycroft à Chiswick en Grade-Bretagne.
Commencé en 1877. Mis à flot en 1878. Mis en service en juin 1878.
Caractéristiques : 27t. 300cv. 26,6m x 3,3m x 1,5m.
Armement : 1 hampe lance-torpilles.
Symbole de coque : 8
Basé à Cherbourg.
1889 : refonte, reçoit une chaudière du Temple.
1893-1896 : basé à Lorient.
1897 : vendu pour démolition à Lorient.
Sources :
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Re: torpilleurs numérotés 1 à 370 (de 1875 à 1907-1942)
Bizarre , en tête du post le torpilleur est 89 ou 86 ?
Invité- Invité
c'était pour illustrer les dos de chameaux !
Didier MOREAUX a écrit:Bizarre , en tête du post le torpilleur est 89 ou 86 ?
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Torpilleur n°126, tête de série du type 126 (1889-1908)
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Torpilleur n°126, tête de série du type 126 (1889-1908)
Construit aux Chantiers Augustin Normand au Havre.
Commencé en 1887. Mis à flot le 01/04/1889. Mis en service en août 1889.
Caractéristiques : 75t. 900cv. 36,9m x 3,9m x 2,7m.
Armement : 2 canons de 37mm + 2 tubes LT.
Symbole de coque : 126
Novembre 1889 à 1893 : affecté à l’Escadre d’évolution en Méditerranée.
Août 1892 : aborde, lors de manœuvres le torpilleur n°127.
Mars 1893 : échoué.
Avril 1893 à août 1894 : défense mobile de la Corse.
Novembre 1900 à décembre 1901 : défense mobile de la Tunisie.
Décembre 1901 à décembre 1902 : défense mobile de Toulon.
Décembre 1902 à décembre 1907 : défense mobile de la Corse.
18/06/1908 : rayé des listes.
Octobre 1908 : vendu pour démolition à Toulon.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
Torpilleur n°126, tête de série du type 126 (1889-1908)
Construit aux Chantiers Augustin Normand au Havre.
Commencé en 1887. Mis à flot le 01/04/1889. Mis en service en août 1889.
Caractéristiques : 75t. 900cv. 36,9m x 3,9m x 2,7m.
Armement : 2 canons de 37mm + 2 tubes LT.
Symbole de coque : 126
Novembre 1889 à 1893 : affecté à l’Escadre d’évolution en Méditerranée.
Août 1892 : aborde, lors de manœuvres le torpilleur n°127.
Mars 1893 : échoué.
Avril 1893 à août 1894 : défense mobile de la Corse.
Novembre 1900 à décembre 1901 : défense mobile de la Tunisie.
Décembre 1901 à décembre 1902 : défense mobile de Toulon.
Décembre 1902 à décembre 1907 : défense mobile de la Corse.
18/06/1908 : rayé des listes.
Octobre 1908 : vendu pour démolition à Toulon.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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Torpilleur n°127, torpilleur du type 126 (1889-1909)
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Torpilleur n°127, torpilleur du type 126 (1889-1909)
Construit aux Chantiers Augustin Normand au Havre.
Commencé en 1887. Mis à flot le 26/07/1889. Mis en service en novembre 1889.
Caractéristiques : 75t. 900cv. 36,9m x 3,9m x 2,7m. 21 nœuds.
Armement : 2 canons de 37mm + 2 tubes LT.
Symbole de coque : 127
Novembre 1889 à 1893 : affecté à l’Escadre d’évolution en Méditerranée.
Août 1892 : abordé, lors de manœuvres par le torpilleur n°126.
1893 à 1899 : défense mobile de la Corse.
1899 à 1902 : défense mobile de la Tunisie.
15/10/1909 : rayé des listes.
Août 1911 : coque vendue pour démolition à Toulon.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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Torpilleur n°127, torpilleur du type 126 (1889-1909)
Construit aux Chantiers Augustin Normand au Havre.
Commencé en 1887. Mis à flot le 26/07/1889. Mis en service en novembre 1889.
Caractéristiques : 75t. 900cv. 36,9m x 3,9m x 2,7m. 21 nœuds.
Armement : 2 canons de 37mm + 2 tubes LT.
Symbole de coque : 127
Novembre 1889 à 1893 : affecté à l’Escadre d’évolution en Méditerranée.
Août 1892 : abordé, lors de manœuvres par le torpilleur n°126.
1893 à 1899 : défense mobile de la Corse.
1899 à 1902 : défense mobile de la Tunisie.
15/10/1909 : rayé des listes.
Août 1911 : coque vendue pour démolition à Toulon.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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Torpilleur n°168, du type 145 (1894-1908)
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Torpilleur n°168, du type 145 (1894-1908)
Construit au chantier Schneider à Châlons-sur-Saône.
Commencé en 1890. Mis à flot en janvier 1892. Mis en service en mai 1894.
Caractéristiques : 77t. 1000cv. 37,8m x 3,9m x 2,6m.
Armement : 2 canons de 37mm + 2 tubes LT.
Symbole de coque : 168
Juillet 1897 : Le remorqueur Travailleur, de Toulon, remorquait les deux torpilleurs 167 et 168 depuis Marseille où ils avaient été en arrêt technique aux chantiers Frayssinet, jusqu'à Toulon.
Ayant doublé le cap Croisette, un violent coup de mistral se leva et la mer devint grosse.
Le remorqueur voulût aller relâcher dans la baie de Sanary, mais les remorques finirent par se rompre.
Le Travailleur put difficilement récupérer le 167, mais perdit de vue le 168.
Le lendemain matin, on le retrouva échoué sur la plage de la Coudoulière (1).
Il avait quand même subi de sérieuses avaries et était bon pour un nouvel arrêt technique.
C'est le remorqueur Utile qui le tira de sa fâcheuse position. (Voir photos en rapport).
1903 à 1907 : le torpilleur 168 est affecté à la 3ème flottille de la Méditerranée.
1907-1908 : affecté à la 1ère flottille à Toulon.
Octobre 1908 : rayé des listes.
1910-1911 : sert de but de tir pour torpilles.
1911 : coque vendue pour démolition à Toulon.
(1) Il n'y a pas de plage de La Coudoulière à Sanary proprement dit.
Dans la baie du même nom, il y a bien celle de Six-Fours.
Mais c'est plutôt celle de Saint-Mandrier, car constituée de galets.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
Torpilleur n°168, du type 145 (1894-1908)
Construit au chantier Schneider à Châlons-sur-Saône.
Commencé en 1890. Mis à flot en janvier 1892. Mis en service en mai 1894.
Caractéristiques : 77t. 1000cv. 37,8m x 3,9m x 2,6m.
Armement : 2 canons de 37mm + 2 tubes LT.
Symbole de coque : 168
Juillet 1897 : Le remorqueur Travailleur, de Toulon, remorquait les deux torpilleurs 167 et 168 depuis Marseille où ils avaient été en arrêt technique aux chantiers Frayssinet, jusqu'à Toulon.
Ayant doublé le cap Croisette, un violent coup de mistral se leva et la mer devint grosse.
Le remorqueur voulût aller relâcher dans la baie de Sanary, mais les remorques finirent par se rompre.
Le Travailleur put difficilement récupérer le 167, mais perdit de vue le 168.
Le lendemain matin, on le retrouva échoué sur la plage de la Coudoulière (1).
Il avait quand même subi de sérieuses avaries et était bon pour un nouvel arrêt technique.
C'est le remorqueur Utile qui le tira de sa fâcheuse position. (Voir photos en rapport).
1903 à 1907 : le torpilleur 168 est affecté à la 3ème flottille de la Méditerranée.
1907-1908 : affecté à la 1ère flottille à Toulon.
Octobre 1908 : rayé des listes.
1910-1911 : sert de but de tir pour torpilles.
1911 : coque vendue pour démolition à Toulon.
(1) Il n'y a pas de plage de La Coudoulière à Sanary proprement dit.
Dans la baie du même nom, il y a bien celle de Six-Fours.
Mais c'est plutôt celle de Saint-Mandrier, car constituée de galets.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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Torpilleur numérotés 228 & 229
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Torpilleur numéroté n°228, du type 201 (1900-1913)
Construit aux Forges et Chantier de la Méditerranée à Graville près du Havre.
Commencé en 1897. Mis à flot le 21/08/1899. Mis en service en avril 1900.
Caractéristiques : 86t. 1600cv. 39,2m x 4,1m x 2,6m.
Armement : 2 canons de 37mm + 2 tubes LT.
Symbole de coque : 228
Essais à Cherbourg.
31/03/1900 : accident à bord qui fera 3 morts.
Septembre 1900 à 1912 : affecté à Cherbourg pour la 1ère flottille des torpilleurs de la Manche.
1913 : rayé des listes.
Juin 1920 : coque vendue pour démolition à Cherbourg.
*** ***
Torpilleur numéroté n°229, du type 201 (1900-1913)
Construit aux Forges et Chantier de la Méditerranée à Graville près du Havre.
Commencé en 1897. Mis à flot le 09/01/1900. Mis en service en mai 1900.
Caractéristiques : 86t. 1600cv. 39,2m x 4,1m x 2,6m.
Armement : 2 canons de 37mm + 2 tubes LT.
Symbole de coque : 229
Essais à Cherbourg.
Juin 1900 à mai 1912 : affecté à Cherbourg pour la 1ère flottille des torpilleurs de la Manche.
Août 1913 : rayé des listes.
1914 : vendu pour démolition à Cherbourg.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
Torpilleur numéroté n°228, du type 201 (1900-1913)
Construit aux Forges et Chantier de la Méditerranée à Graville près du Havre.
Commencé en 1897. Mis à flot le 21/08/1899. Mis en service en avril 1900.
Caractéristiques : 86t. 1600cv. 39,2m x 4,1m x 2,6m.
Armement : 2 canons de 37mm + 2 tubes LT.
Symbole de coque : 228
Essais à Cherbourg.
31/03/1900 : accident à bord qui fera 3 morts.
Septembre 1900 à 1912 : affecté à Cherbourg pour la 1ère flottille des torpilleurs de la Manche.
1913 : rayé des listes.
Juin 1920 : coque vendue pour démolition à Cherbourg.
*** ***
Torpilleur numéroté n°229, du type 201 (1900-1913)
Construit aux Forges et Chantier de la Méditerranée à Graville près du Havre.
Commencé en 1897. Mis à flot le 09/01/1900. Mis en service en mai 1900.
Caractéristiques : 86t. 1600cv. 39,2m x 4,1m x 2,6m.
Armement : 2 canons de 37mm + 2 tubes LT.
Symbole de coque : 229
Essais à Cherbourg.
Juin 1900 à mai 1912 : affecté à Cherbourg pour la 1ère flottille des torpilleurs de la Manche.
Août 1913 : rayé des listes.
1914 : vendu pour démolition à Cherbourg.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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Re: torpilleurs numérotés 1 à 370 (de 1875 à 1907-1942)
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Torpilleur n°276, du type 201 (1902-1920)
Construit aux Forges et Chantiers de la Gironde à Bordeaux.
Commencé en 1901. Mis à flot le 16/09/1902. Mis en service en octobre 1902.
Caractéristiques : 86t. 1600cv. 39,2m x 4,1m x 2,6m.
Armement : 2 canons de 37mm + 2 tubes LT.
Symbole de coque : 276
Essais à Rochefort.
Affecté à la 3ème flottille de torpilleurs de l’Océan.
1903-1912 : défense mobile de Rochefort.
1913-1919 : défense mobile de Cherbourg.
Le Torpilleur 276 fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre :
— du 2 août 1914 au 27 octobre 1916.
— du 31 décembre 1916 au 12 janvier 1917.
— du 16 mars 1917 au 8 mars 1919.
09/03/1916 : Recueille les rescapés du torpillage du trois-mâts barque Silius, ex-Colbert, de la société d’armement Solgt til ⅍ Excelsior (S.-O. Stray & Co.), de Kristiansand (Norvège), torpillé le même jour en rade du Havre par le sous-marin allemand UB18, alors qu’il allait de New-York au Havre avec un chargement d’orge et de balles de coton.
05/04/1916 : participe à la traque du sous-marin allemand UB26 en rade du Havre. Capturé le même jour ce bâtiment sous-marin prendra le nom de Roland Morillot.
Janvier 1920 : le torpilleur 276 est rayé des listes.
Réutilisé comme tir au but.
Janvier 1923 : il sera coulé au large du Cotentin.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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Torpilleur n°276, du type 201 (1902-1920)
Construit aux Forges et Chantiers de la Gironde à Bordeaux.
Commencé en 1901. Mis à flot le 16/09/1902. Mis en service en octobre 1902.
Caractéristiques : 86t. 1600cv. 39,2m x 4,1m x 2,6m.
Armement : 2 canons de 37mm + 2 tubes LT.
Symbole de coque : 276
Essais à Rochefort.
Affecté à la 3ème flottille de torpilleurs de l’Océan.
1903-1912 : défense mobile de Rochefort.
1913-1919 : défense mobile de Cherbourg.
Le Torpilleur 276 fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre :
— du 2 août 1914 au 27 octobre 1916.
— du 31 décembre 1916 au 12 janvier 1917.
— du 16 mars 1917 au 8 mars 1919.
09/03/1916 : Recueille les rescapés du torpillage du trois-mâts barque Silius, ex-Colbert, de la société d’armement Solgt til ⅍ Excelsior (S.-O. Stray & Co.), de Kristiansand (Norvège), torpillé le même jour en rade du Havre par le sous-marin allemand UB18, alors qu’il allait de New-York au Havre avec un chargement d’orge et de balles de coton.
05/04/1916 : participe à la traque du sous-marin allemand UB26 en rade du Havre. Capturé le même jour ce bâtiment sous-marin prendra le nom de Roland Morillot.
Janvier 1920 : le torpilleur 276 est rayé des listes.
Réutilisé comme tir au but.
Janvier 1923 : il sera coulé au large du Cotentin.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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Torpilleur n°307, du type 295 (1905-1920)
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Torpilleur n°307, du type 295 (1905-1920)
Construit aux Forges et Chantiers de la Méditerranée à Graville près du Havre.
Commencé en 1903. Mis à flot en juillet 1905. Mis en service en décembre 1905.
Caractéristiques : 101t. 2000cv. 40,2m x 4,4m x 2,6m. 26 nœuds. 23 hommes.
Armement : 2 canons de 37mm + 3 tubes LT.
Symbole de coque : 307
14/09/1905 : Lancement officiel (voir article de presse en rapport).
Essais à Cherbourg.
1906 : défense mobile de Cherbourg.
1907 : défense mobile de Dunkerque (voir photo en rapport).
1913-1919 : flottille des torpilleurs de Cherbourg puis Division des patrouilles de Normandie.
Le Torpilleur 307 fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre :
— du 2 août 1914 au 21 décembre 1917.
— du 15 février au 25 septembre 1918.
— du 7 décembre 1918 au 23 avril 1919.
26/11/1920 : rayé des listes.
Mai 1921 : vendu pour démolition à Cherbourg.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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Torpilleur n°307, du type 295 (1905-1920)
Construit aux Forges et Chantiers de la Méditerranée à Graville près du Havre.
Commencé en 1903. Mis à flot en juillet 1905. Mis en service en décembre 1905.
Caractéristiques : 101t. 2000cv. 40,2m x 4,4m x 2,6m. 26 nœuds. 23 hommes.
Armement : 2 canons de 37mm + 3 tubes LT.
Symbole de coque : 307
14/09/1905 : Lancement officiel (voir article de presse en rapport).
Essais à Cherbourg.
1906 : défense mobile de Cherbourg.
1907 : défense mobile de Dunkerque (voir photo en rapport).
1913-1919 : flottille des torpilleurs de Cherbourg puis Division des patrouilles de Normandie.
Le Torpilleur 307 fut administrativement considéré comme bâtiment armé en guerre :
— du 2 août 1914 au 21 décembre 1917.
— du 15 février au 25 septembre 1918.
— du 7 décembre 1918 au 23 avril 1919.
26/11/1920 : rayé des listes.
Mai 1921 : vendu pour démolition à Cherbourg.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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Torpilleurs numérotés 315 et 321
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Torpilleur n°315, du type 295 (1905-1933)
Construit aux Chantiers Dubigeon à Nantes.
Commencé en 1903. Mis à flot en 1905. Mis en service en octobre 1905.
Caractéristiques : 101t. 2000cv. 40,2m x 4,4m x 2,6m.
Armement : 2 canons de 37mm + 3 tubes LT de 450mm.
Symbole de coque : 315
Essais à Lorient.
1906-1918 : affecté à Cherbourg à la Division des patrouilles de Normandie.
1919 : escorteur du train de dragage à Calais et au Havre.
16/06/1922 : arrive à Paris, avec le torpilleur n°321 et le chasseur C55, par voie fluviale via Cherbourg et Le Havre à l’occasion d’une manifestation nautique (voir photos en rapport).
10/06/1923 : arrive à Paris par voie fluviale via Cherbourg et Le Havre à l’occasion d’une manifestation nautique.
31/05/1925 au 01/06/1925 : séjour à Paris à l’occasion d’une manifestation nautique.
20/06/1933 : rayé puis vendu pour démolition à Cherbourg.
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*** ***
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Torpilleur n°321, du type 295 (1907-1936)
Construit aux Chantiers Augustin Normand au Havre.
Commencé en 1904. Mis à flot le 22/11/1906. Mis en service en octobre 1907.
Caractéristiques : 101t. 2000cv. 40,2m x 4,4m x 2,6m. 26,38 nœuds.
Armement : 2 canons de 37mm + 3 tubes LT de 450mm.
Symbole de coque : 321
Essais à Cherbourg.
1908-1911 : défense mobile de Cherbourg.
1912-1918 : flottille des torpilleurs de Dunkerque.
1918-1920 : devient dragueur léger.
1920-1935 : défense mobile de Cherbourg avec des missions de représentation à Paris.
16/06/1922 : arrive à Paris, avec le torpilleur n°315 et le chasseur C55, par voie fluviale via Cherbourg et Le Havre à l’occasion d’une manifestation nautique (voir photos en rapport).
10/06/1923 : arrive à Paris par voie fluviale via Cherbourg et Le Havre à l’occasion d’une manifestation nautique.
31/05/1925 au 01/06/1925 : séjour à Paris à l’occasion d’une manifestation nautique.
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14/06/1936 : rayé des listes.
Août 1937 : vendu pour démolition à Cherbourg.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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Torpilleur n°315, du type 295 (1905-1933)
Construit aux Chantiers Dubigeon à Nantes.
Commencé en 1903. Mis à flot en 1905. Mis en service en octobre 1905.
Caractéristiques : 101t. 2000cv. 40,2m x 4,4m x 2,6m.
Armement : 2 canons de 37mm + 3 tubes LT de 450mm.
Symbole de coque : 315
Essais à Lorient.
1906-1918 : affecté à Cherbourg à la Division des patrouilles de Normandie.
1919 : escorteur du train de dragage à Calais et au Havre.
16/06/1922 : arrive à Paris, avec le torpilleur n°321 et le chasseur C55, par voie fluviale via Cherbourg et Le Havre à l’occasion d’une manifestation nautique (voir photos en rapport).
10/06/1923 : arrive à Paris par voie fluviale via Cherbourg et Le Havre à l’occasion d’une manifestation nautique.
31/05/1925 au 01/06/1925 : séjour à Paris à l’occasion d’une manifestation nautique.
20/06/1933 : rayé puis vendu pour démolition à Cherbourg.
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Torpilleur n°321, du type 295 (1907-1936)
Construit aux Chantiers Augustin Normand au Havre.
Commencé en 1904. Mis à flot le 22/11/1906. Mis en service en octobre 1907.
Caractéristiques : 101t. 2000cv. 40,2m x 4,4m x 2,6m. 26,38 nœuds.
Armement : 2 canons de 37mm + 3 tubes LT de 450mm.
Symbole de coque : 321
Essais à Cherbourg.
1908-1911 : défense mobile de Cherbourg.
1912-1918 : flottille des torpilleurs de Dunkerque.
1918-1920 : devient dragueur léger.
1920-1935 : défense mobile de Cherbourg avec des missions de représentation à Paris.
16/06/1922 : arrive à Paris, avec le torpilleur n°315 et le chasseur C55, par voie fluviale via Cherbourg et Le Havre à l’occasion d’une manifestation nautique (voir photos en rapport).
10/06/1923 : arrive à Paris par voie fluviale via Cherbourg et Le Havre à l’occasion d’une manifestation nautique.
31/05/1925 au 01/06/1925 : séjour à Paris à l’occasion d’une manifestation nautique.
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14/06/1936 : rayé des listes.
Août 1937 : vendu pour démolition à Cherbourg.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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Carriere Jean- Permanent
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Date d'inscription : 26/10/2018
Age : 65
Torpilleur n°317, du type 295 (1906-1916)
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Torpilleur n°317, du type 295 (1906-1916)
Construit aux Chantiers Dubigeon à Nantes.
Commencé en 1903. Mis à flot en 1905. Mis en service en février 1906.
Caractéristiques : 101t. 2000cv. 40,2m x 4,4m x 2,6m.
Armement : 2 canons de 37mm + 3 tubes LT.
Symbole de coque : 317
Essais à Lorient.
1906-1916 : affecté à la 1ère flottille de torpilleurs de la Manche basé à Cherbourg.
1916 : bâtiment affecté à la Station des torpilleurs de Dunkerque.
27/12/1916 : coulé par une mine mouillée par le sous-marin allemand UC1 devant Calais.
Marins disparus lors de la perte du bâtiment (Jugement rendu le 5 avril 1917 à Cherbourg) :
- BLANQUART Paul Casimir Louis, né le 24 juin 1892 à Lille (Nord), Matelot de 2ème classe Électricien.
- BARBET Henri Eugène, né le 8 septembre 1888 à Calais (Pas-de-Calais), Matelot de 2ème classe Chauffeur.
- BONNEAU Donat, né le 1er août 1892 à Mosnac (Charente-Maritime), Matelot de 2ème classe Cuisinier.
- DENIS Raymond Charles Julien né le 08/04/1893 à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), Matelot de 2ème Classe Manœuvrier.
- JOIGNANT Frédéric Léon né le 08/05/1891 à Fécamp (Seine-Maritime (Seine-Inférieure en 1914)), Matelot de 2ème Classe Chauffeur Breveté.
- LEFRANÇOIS Ivan Jules Augustin né le 16/10/1894 à Sotteville-sous-le-Val (Seine-Maritime (Seine-Inférieure en 1914)), Matelot de 1ère Classe Timonier.
- LEVEY Paul Joseph Victor, né le 24 octobre 1884 à Lorient (Morbihan), Maître Mécanicien.
- MAGUEUR Yves Marie, né le 9 octobre 1887 à Plourin (Côtes d'Armor), Second Maître Timonier.
- MAILLÉ Victor Marcel né le 21/07/1891 à Saint-Porchaire (Charente-Maritime (Charente-Inférieure en 1914)), Matelot de 2ème Classe Chauffeur.
- MARCHADOUR François, né le 17 avril 1879 à Crozon (Finistère), Matelot de 1ère classe Canonnier.
- MARTIN Émile Léonce Ollivier, né le 15 janvier 1891 à Marennes (Charente-Maritime), Quartier-Maître Mécanicien.
- MÉRIEN Vincent Marie, né le 13 octobre 1885 à Clohars-Carnoët (Finistère), Quartier-Maître Chauffeur.
- PENNAMEN Henri Marie, né le 24 juin 1889 à Cléden-Cap-Sizun (Finistère), Quartier-Maître Mécanicien.
- PETIT Marcel Charles Robert né le 15/01/1893 au Havre (Seine-Maritime (Seine-Inférieure en 1914)), Matelot de 1ère Classe Mécanicien.
- PRIOL Ferdinand Marie, né le 25 janvier 1885 à Riantec (Morbihan), Quartier-Maître Chauffeur.
- SEQUIÈS Maurice, né le 16 juin 1894 à Paris XIVème ardt (Seine), Quartier-Maître Électricien.
- SOQUET François Célestin, né le 24 janvier 1877 à Saint-Méloir-des-Ondes (Ille-et-Vilaine), Matelot de 2ème classe Canonnier.
- TROADEC Guillaume, né le 6 août 1890 à Plouézoc’h (Finistère). Quartier-maître timonier, Matricule n° 8707.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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Torpilleur n°317, du type 295 (1906-1916)
Construit aux Chantiers Dubigeon à Nantes.
Commencé en 1903. Mis à flot en 1905. Mis en service en février 1906.
Caractéristiques : 101t. 2000cv. 40,2m x 4,4m x 2,6m.
Armement : 2 canons de 37mm + 3 tubes LT.
Symbole de coque : 317
Essais à Lorient.
1906-1916 : affecté à la 1ère flottille de torpilleurs de la Manche basé à Cherbourg.
1916 : bâtiment affecté à la Station des torpilleurs de Dunkerque.
27/12/1916 : coulé par une mine mouillée par le sous-marin allemand UC1 devant Calais.
Marins disparus lors de la perte du bâtiment (Jugement rendu le 5 avril 1917 à Cherbourg) :
- BLANQUART Paul Casimir Louis, né le 24 juin 1892 à Lille (Nord), Matelot de 2ème classe Électricien.
- BARBET Henri Eugène, né le 8 septembre 1888 à Calais (Pas-de-Calais), Matelot de 2ème classe Chauffeur.
- BONNEAU Donat, né le 1er août 1892 à Mosnac (Charente-Maritime), Matelot de 2ème classe Cuisinier.
- DENIS Raymond Charles Julien né le 08/04/1893 à Saint-Malo (Ille-et-Vilaine), Matelot de 2ème Classe Manœuvrier.
- JOIGNANT Frédéric Léon né le 08/05/1891 à Fécamp (Seine-Maritime (Seine-Inférieure en 1914)), Matelot de 2ème Classe Chauffeur Breveté.
- LEFRANÇOIS Ivan Jules Augustin né le 16/10/1894 à Sotteville-sous-le-Val (Seine-Maritime (Seine-Inférieure en 1914)), Matelot de 1ère Classe Timonier.
- LEVEY Paul Joseph Victor, né le 24 octobre 1884 à Lorient (Morbihan), Maître Mécanicien.
- MAGUEUR Yves Marie, né le 9 octobre 1887 à Plourin (Côtes d'Armor), Second Maître Timonier.
- MAILLÉ Victor Marcel né le 21/07/1891 à Saint-Porchaire (Charente-Maritime (Charente-Inférieure en 1914)), Matelot de 2ème Classe Chauffeur.
- MARCHADOUR François, né le 17 avril 1879 à Crozon (Finistère), Matelot de 1ère classe Canonnier.
- MARTIN Émile Léonce Ollivier, né le 15 janvier 1891 à Marennes (Charente-Maritime), Quartier-Maître Mécanicien.
- MÉRIEN Vincent Marie, né le 13 octobre 1885 à Clohars-Carnoët (Finistère), Quartier-Maître Chauffeur.
- PENNAMEN Henri Marie, né le 24 juin 1889 à Cléden-Cap-Sizun (Finistère), Quartier-Maître Mécanicien.
- PETIT Marcel Charles Robert né le 15/01/1893 au Havre (Seine-Maritime (Seine-Inférieure en 1914)), Matelot de 1ère Classe Mécanicien.
- PRIOL Ferdinand Marie, né le 25 janvier 1885 à Riantec (Morbihan), Quartier-Maître Chauffeur.
- SEQUIÈS Maurice, né le 16 juin 1894 à Paris XIVème ardt (Seine), Quartier-Maître Électricien.
- SOQUET François Célestin, né le 24 janvier 1877 à Saint-Méloir-des-Ondes (Ille-et-Vilaine), Matelot de 2ème classe Canonnier.
- TROADEC Guillaume, né le 6 août 1890 à Plouézoc’h (Finistère). Quartier-maître timonier, Matricule n° 8707.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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