Hommage à nos Pingouins...

12 décembre 1923

Hommages aux 40 membres de l'équipage et aux 10 passagers du dirigeable DIXMUDE, disparus au large de la Sicile, dans ce qui restera, et nous l'espérons à jamais, la plus grande catastrophe de l'Aéronavale.
Je laisse le soin à nos spécialistes du forum (je n'ai pas le temps) de vous conter cette tragédie.

21 décembre 1928

Hommage au Lieutenant de Vaisseau François DESORMEAUX, pilote de dirigeable à l'EM Aéro de la IVème RM.
Disparu aux commandes d'un FBA 17 HMT2 sur le lac de Bizerte.

21 décembre 1931

Hommages au Lieutenant de Vaisseau Commandant la DCA du port de Cherbourg Charles BOULLIER et à l'Enseigne de Vaisseau Pilote Yves MORIN de la Section d'Entrainement de Cherbourg.
Disparus aux commandes de leur FBA 17 HE2 à proximité du Cap Lévy (Manche).

21 décembre 1939

Hommage au Second-maître Pilote Alexis LANSONNEUR de l'Escadrille AB3.
Disparu aux commandes de son Loire Nieuport 401 au-dessus d'Orly.

21 décembre 1940

Hommage au Quartier-maître Joseph SIMON de la Section Hydravion Marine.
Disparu aux commandes d'un Hydravion Gourdon-Leseurre 832 à proximité de Mytho (Cochinchine).

Lieutenant de Vaisseau François DESORMEAUX,
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Source:http://www.aviafrance.com/f-b-a-17-hmt-2-aviation-france-727.htm

FBA 17 HE2
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Source:http://jeanmichel.vacherot.free.fr/hisaviation.htm
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Source:http://www.bretagne-aviation.fr/Patrimoine/fba.htm

Escadrille AB3.
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Source:https://clausuchronia.wordpress.com/tag/1b-ex-ab-3/
Pingouins mes amis ce site devrait vous plaire(si vous ne le connaissez déjà)
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Loire Nieuport 401
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Source:http://www.vvsregiaavions.com/AvionsHTML/aln4011.htm

Hydravion Gourdon-Leseurre 832
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Source:http://www.crash-aerien.aero/forum/les-hydravions-t23689-375.html
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Source:http://forum.aviation-ancienne.fr/t4764-port-de-casabianca-1940-42

Hydravion Gourdou Leseurre... avec un Marin.

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fallait en avoir...pour oser voler à son bord. Moi je dis chapeau bas.

Et pour preuve JP
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Source:http://www.crash-aerien.aero/forum/les-hydravions-t23689-375.html

Sur le C47 Dakota, les gouvernes étaient aussi toilées... A l'occasion je vous raconterai une anecdote sur le C47.

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HISTORIQUE DU DIXMUDE

La prise de guerre

Les dirigeables ont démontré leur efficacité au cours de la Première Guerre mondiale, tant pour les bombardements à terre que l’éclairage des forces navales ou l’escorte des convois, en particulier les « ZEPPELIN » ( du nom du comte Allemand, un des concepteurs et premiers constructeurs de ce type d’aérostat à Friedrichshafen ), grands dirigeables rigides constitués par une carcasse indéformable en alliage léger.

L’état-major français décida en 1916, la construction des grands « rigides » et choisit le site de CUERS pour implanter la base de ces « ZEPPELIN » français. Sur demande du conseil municipal de PIERREFEU, le ministère de la Marine décida que le nouveau centre prendrait le nom de « Centre de dirigeables de Cuers-Pierrefeu »

L’aérodrome a été affecté officiellement à la Marine par un décret du 11 décembre 1919. Deux hangars furent élevés et achevés respectivement en 1921 et 1922 (100.000 m 3).
Après la guerre de 1914-1918, l’Allemagne vaincue, dut livrer à la France deux dirigeables, type « ZEPPELIN », au titre des dommages de guerre.

Le dimanche 13 juillet 1920, le lieutenant de vaisseau Jean du Plessis de Grenédan, après un convoyage entre Friedrichshafen et Maubeuge et un accorage sur ce dernier terrain, prend possession du "L-72", imposant trophée de guerre dont il avait reçu le commandement dès le 11 juin.

Malheureusement, la machine volante était en en mauvais état et, en absence de documentation technique, la tâche de réfection du rigide et la formation de l'équipage de marins furent ardues et laborieuses.

Installation à Cuers

Le 11 août, il décollait de Maubeuge à destination de Cuers en survolant sur son trajet Soissons, Paris, Etampes, Lyon, Avignon, Marseille, Aubagne et Toulon. Mais des difficultés de maneuvre de commandes de soupapes de délestage l'obligent à attendre le lever du jour du lendemain pour pouvoir se poser, à la grande déception des habitants des communes environnantes, du personnel du Centre et des officiels venus l'attendre.

Le centre n'était d'ailleurs pas encore prêt pour le recevoir : le "L-72" nommé "D.R-1" puis baptisé "DIXMUDE" fut dégonflé et mis en attente dans le hangar encore inachevé jusqu'à son regonflage, le 2 septembre 1921, opération délicate qui dura plusieurs jours.
Les 16 ballonnets, d'origine allemande, avaient vieilli, étaient devenus poreux et le dirigeable dut être de nouveau dégonflé en attente de la fabrication d'élèments neufs par les services techniques.

Devant ces difficultés, l'expérimentation des dirigeables rigides enreprise par la Marine rencontrait des détracteurs.
Le lieutenant de vaisseau du Plessis de Grenédan réagit avec opiniâtreté pour sauver "son" vaisseau volant de la démolition et parvint à convaincre le préfet maritime de Toulon, l'amiral Sagot-Duvauroux d'intevenir à Paris, pour poursuivre l'expérience. Ayant obtenu gain de cause, un programme d'essais fut mis au point en 1922 par le service central de l'aéronautique maritime.

Le regonflage du "Dixmude" ne put être réalisé que le 6 juillet 1923, permettant de commencer les essais et sorties qui devaient durer 5 mois à partir du Centre de Cuers avec un retentissement grandissant.

Les cinq croisières

Sorties effectuées :

* 1er et 2 août
durée du vol :
14 heures et 25 minutes

* 9 et 10 août
durée du vol :
23 heures et 15 minutes
jusqu'en Corse
* du 30 août au 2 septembre
durée du vol :
50 heures et 25 minutes

* du 25 au 30 septembre
durée du vol :
118 heures (9000 km)
voyage dans le Sud-Algérien – record de vol sans escale
* du 17 au 19 octobre
durée du vol :
44 heures et 25 minutes
survol du Sud de la France objectif : essayer le matériel et en promouvoir l'image auprès du public

La perte du "DIXMUDE"

Du 18 au 21 décembre 1923 : dernière sortie avec 50 personnes à bord (passagers et membres de l'Etat-Major général) décollage à 6 heures du matin . Survol de : Bizerte – Touggourt – In-Salah – Ouargla.

Lors du retour, le "DIXMUDE" fut pris dans un violent orage. Désemparé, touché par la foudre, il prend feu en plein vol.
Il explose au large des côtes de la Sicile, dans la nuit du 20 au 21 décembre 1923 à  02 heures 28 et s'engloutit dans la mer.
Le corps du commandant est ramené miraculeusement cinq jours plus tard, dans les chaluts de pêcheurs italiens du port de Sciacca.
Hormis les débris épars du dirigeable, ce sera la seule dépouille recueillie. Elle fut rapatriée à Toulon, via Palerme et Naples, la dernière étape, le 5 janvier 1924, sur le croiseur "Strasbourg" (ex -"Regensburg") autre trophée de guerre.



Caractéristiques
Dimensions  : Longueur : 226 mètres   –   Largeur : 24 mètres   –   Hauteur : 28 mètres
Puissance  : 1560 CV 6 hélices   –   6 moteurs "Maybach" Mb IV a
Altitude maximale  : 6.000 mètres   –   Vitesse normale   :   77 km/heure
Equipage  : 5 état major   –   10 arrimeurs   –   24 mécaniciens et T.S.F.    =   39 passagers
A partir d'octobre 1923 : une cabine supplémentaire pour 6 à 10 personnes

Spoiler:

22 décembre 1930

Hommage au Second-maître Radio André TANGUY de l'Escadrille 7S.1.
Décédé des suites de ses blessures à l'hôpital de Toulon, après l'accident d'appontage de son Levasseur PL4.

23 décembre 1970

Hommage à l'Enseigne de Vaisseau Pilote Yves MONTAGNONT de l'Escadrille 2S.
Disparu aux commandes de son Morane Saulnier 760 au-dessus de Dugny (Seine-Saint-Denis).

Escadrille 7S.1.
Rien sur le Second-maître Radio André TANGUY,mais j'ai trouvé
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Source:http://www.aerosteles.net/fiche.php?code=pierrefeu-bearn
Levasseur PL4.
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-Le Levasseur PL-4 est un biplan triplace de reconnaissance, d'observation et de bombardement, construit en bois et disposant d'un fuselage marin permettant l'amerissage. Il est construit à 32 exemplaires (40 selon d'autres sources) qui sont mis en oeuvre par l'escadrille de bombardement et l'escadrille de reconnaissance de 1927 à 1930. Quelques appareils sont utilisés par la section d'entrainement et de servitude jusqu'en 1936.
Source:http://forummarine.forumactif.com/t4805-france-porte-avions-bearn

À partir de 1970, la totalité des douze appareils encore en service au sein de la SLD/SSD sont transférés à l'escadrille 2.S basée sur la BAN Lann-Bihoué. Cette escadrille assure le soutien de la IIème Région Maritime (Brest). Le MS.760 Paris nº31 est retiré du service suite à un atterrissage sur le ventre à Lyon-Bron en juillet 1971. Le nº84 est détruit au décollage du Bourget le 23 décembre 1970, tuant le pilote, l'EV2 Montagnon et blessant grièvement le maître mécanicien Thévenin, probablement suite à un givrage des turbines.
Début 1973, ces avions sont de nouveau transférés à une autre unité, il s'agit de la Section Réacteurs de Landivisiau (SRL).
Source:http://www.ffaa.net/aircraft/paris/paris_fr.htm
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Source:http://www.aeropassion.fr/3.html

J'ai le même, au hangar...

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... et ses copains, dont le 84 détruit en 1970.

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23 décembre 1916

Hommage au Quartier-maître Alfred SALMON du CAM de Bizerte.
Disparu aux commandes de son appareil au-dessus de Lescar.

24 décembre 1949

Hommage à l'Enseigne de Vaisseau Pilote Pierre LOUIS de l'Escadrille 3.S.
Disparu aux commandes de son Spitfire IX au-dessus de Forcalqueiret (Var).

Quartier-maître Alfred SALMON du CAM de Bizerte.
le 13 Décembre 1916 il y avait eu un autre décès
C.A.M de BIZERTE
 DANIEL Raoul Denis, né le 1er octobre 1888 à PHILIPPEVILLE, ALGÉRIE, Matelot de 2ème classe Mécanicien disparu en mer au cours d'une reconnaissance en hydravion le 13 décembre 1916. Cité à l'ordre de l'Armée navale : " A montré dans sa carrière d'aviateur les plusbelles qualités d'énergie et de courage. A trouvé la mort dans un départ en mission, le 13 décembre 1916.".--- Jugement déclaratif de décès rendu le 26 octobre 1920 à TOULON. M.P.F.
C.A.M. de BIZERTE

 GILLE Henri Georges, né le 21 décembre 1890 à BÉNOUVILLE (Seine-Maritime), Quartier Maître Pilote aviateur disparu en mer avec l'hydravion B4 le 13 décembre 1916. Cité à l'ordre de l'Armée navale : " A montré dans sa carrière d'aviateur les plusbelles qualités d'énergie et de courage. A trouvé la mort dans un départ en mission, le 13 décembre 1916.".--- Jugement déclaratif de décès rendu le 26 octobre 1920 à TOULON. M.P.F.
 GIRAUD Paul, né le 2 juin 1891 à TONNAY-CHARENTE (Charente-Maritime), Matelot de 3ème classe sans spécialité, décédé le 3 décembre 1916 à BIZERTE, des suites des blessures reçues en service commandé. M.P.F.
 GOUMAUD André Simon, né le 17 mai 1887 à LIMOGES (Haute-Vienne), Enseigne de vaisseau de 1ère classe de réserve, décédé le 30 juin 1916 des suites d'un accident d'hydravion. M.P.F.
 GUILIANI Joseph Antoine, né le 1er janvier 1890 à PIETRACORBARA (Haute-Corse), Maître Électricien, Pilote aviateur, tué au cours d'une mission en avion le 17 août 1917 à l'entrée du golfe de TUNIS. Cité à l'ordre de l'Armée navale : " Deux fois cité à l'ordre du jour. Pilote aussi vaillant que brave, a trouvé une mort glorieuse, le 17 août 1917, au cours d'un opération militaire. Services exceptionnels rendus à l'aviation maritime.". M.P.F.
C.A.M. de BIZERTE
 JAFFRO François Marie, né le 8 octobre 1889 à KERYADO (Morbihan), Quartier-Maître Fusilier Pointeur tué le 19 août 1917 au cours d'une mission en avion-canon dans le Golfe de TUNIS. Cité à l'ordre de l'Armée navale : " Trois fois cité. Pointeur sur avion-canon, toujours en avant pour les missions dangereuses, a trouvé une mort glorieuse au cours d'une opération militaire.".--- Il avait été cité en septembre 1915 : " Pointeur sur avions canons dans un groupe de bombardements, plein d'entrain, donne un exemple constant d'endurance et de courage. Cité à l'ordre du groupe de bombardement le 30 juin 1915. A fait preuve de la plus grande énergie le 14 août 1915 dans un combat aérien au cours duquel il a été blessé par une balle de shrapnell.". M.P.F.
 JEAN Armand Pierre Marie, né le 11 septembre 1899 à LANESTER (Morbihan), Matelot ... Mécanicien décédé le 16 mars 1919 à FERRYVILLE, TUNISIE, des suites de maladie. M.P.F.
 KERMEL François, né le 23 août 1918 à CROZON (Finistère), Matelot de 2ème classe Canonnier, décédé le 23 août 1918 à FERRYVILLE, TUNISIE, des suites de maladie. M.P.F.
 KEROUANTON Guillaume Marie, né le 23 avril 1876 à SAINT-THONAN (Finistère), Second Maître Fusilier, décédé le 28 mai 1919 à l'Hôpital de SOUSSE des suites de maladie. M.P.F.
C.A.M. de BIZERTE
 Le PAGE Ernest, né le 4 janvier 1891 à PONTRIEUX (Côtes-d'Armor), Matelot de 2ème classe Gabier, décédé le 7 octobre 1918 à l'Hôpital militaire de Sidi-Abdallah, TUNISIE, des suites de maladie. M.P.F.
 LOIR Henri, né le 31 avril 1894 à HAULCHIN (Nord), Matelot de 2ème classe Mécanicien, disparu le 28 janvier 1917 dans le lac de BIZERTE au cours d'un vol. Cité à l'ordre de l'Armée navale : " Service exceptionnels rendus à l'aviation maritime ; mort en service commandé.".---Corps retrouvé. M.P.F.
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Je l'ai trouvé au  dépôt de PARIS
DÉPÔT de PARIS

 SALMON Alfred Louis, né le 2 septembre 1895 à REIMS (Marne), Quartier-Maître Mécanicien, tué le 23 décembre 1916 dans un accident d'avion à l'École Militaire d'Aviation à PAU. M.P.F.
Source:http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviation-marine/marine-1914-1918/aviation-maritime-personnels-sujet_1656_1.htm
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Source:http://albindenis.free.fr/Site_escadrille/Ecoles_Pau2.htm

Le Spitfire Supermarine MK IX:

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En dynamique:

Jean Luc  ayant la flemme de rechercher dans le "GRAND CIRQUE" de mémoire te souviens tu quel SPIT raccourci était surnommé CLIPPED CLAPPED  CROPPED?

Mk V...

Merci PAT

Bonsoir, ce serait un MK IX accidenté, qui a été remotorisé et dont les ailes ont été tronquées, donc peut-être rebaptisé MK5 ?

J'ai pris 5' pour rechercher sur le GRAND CIRQUE
SPIT V-D
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Bonjour Alain,je m'étais basé sur une autre info:

le Spitfire IX n°3834 avant, "normal", avec les bouts d'ailes arrondis:

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Puis cet article (mal) traduit:

W3834 a eu une carrière longue et fructueuse, et au moment où la photo a été prise a été plutôt usé. Produit par Supermarine à Eastleigh en Septembre 1941, il était l'un des quatorze Spitfires présentés à la RAF par la famille Holt canadienne à travers le "Qui est pour le Fonds de la Grande-Bretagne". Comme beaucoup d'autres Spitfires financés par le privé, au moment où il a reçu une inscription "Holt XII" sur son fuselage. L'avion est entré en service avec No.266 Squadron à Martllesham Heath, puis avec No.154 Squadron à Fowlmere.
Endommagé dans un accident le 12 Avril 1942, il a été envoyé à Air Service Training Ltd à Eastleigh. Là, avec beaucoup d'autres de seconde main Mk. fuselages V, il a reçu un moteur Merlin 45M basse altitude et coupé le bout des ailes, devenant LF Mk. Vb. En raison de cette provenance Spitfires de basse altitude ont gagné un surnom plutôt défavorable "coupé, coupées et applaudissent" parmi les unités les utiliser.

Et le même, après, bouts d'ailes tronqués:

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Je sais les traductions laissent à désirer ,elles sont pires que les miennes avec le peu de glish qui me reste elles sont de l'ordre des notices de montage d'un meuble ou du mode d'emploi d'un appareil électroménager

C'est déjà bien !...