TOURS (1976-2000)
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pingouin nostalgique
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QUAI DES FLOTTILLES :: MARINE NATIONALE :: AERONAUTIQUE NAVALE :: Bases d'Aéronautique Navale :: BAN lettre "T"
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Re: TOURS (1976-2000)
Nous faisions de même au service ASM (mais je pense que c'était général à bord) du DPT, lors des réceptions de jeunes fraîchement promus ou sortant des école. Le plus dur était de se trouver le même gabarit que soi pour changer d'uniforme.
Personnellement j'échangeais avec notre MP adjudant de cie, un SM avec le Pitaine de cie, etc... Fallait faire durer jusqu'au pot au PC avant le casse-croûte du soir...
La spécialité pour les jeunes EV, était de simuler une panne du calculateur LR en échangeant simplement un fusible contre un mort. Ben à chaque fois, fallait les abattre car ils étaient partis pour démonter la chose sans penser à un simple fusible...
Personnellement j'échangeais avec notre MP adjudant de cie, un SM avec le Pitaine de cie, etc... Fallait faire durer jusqu'au pot au PC avant le casse-croûte du soir...
La spécialité pour les jeunes EV, était de simuler une panne du calculateur LR en échangeant simplement un fusible contre un mort. Ben à chaque fois, fallait les abattre car ils étaient partis pour démonter la chose sans penser à un simple fusible...
Patrick le SCOUARNEC- Administrateur - Responsable du foyer
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Re: TOURS (1976-2000)
Comme quoi ce n'était pas un scoop... mais comme je ne l'ai jamais revu après je pensais que c'était un peu spécifique...
Toutefois le nombre de bars...difficile de faire mieux, non ?
Toutefois le nombre de bars...difficile de faire mieux, non ?
pingouin nostalgique- Permanent
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Re: TOURS (1976-2000)
Toujours Tours et une anecdote qu'on pourrait intituler : dialogue de sourds.
Avant d'arriver à ce récit, il faut "recadrer" les circonstances.
Avril ou mai 1971, notre patron (le Mt Mécaé Dorange dont j'ai déjà parlé), qui s'apprête à poser la casquette, me désigne pour prendre sa suite comme responsable de l'accueil Crusader. En effet ces superbes engins sont de temps en temps déroutés sur Tours, quand la base de Landivisiau est "dans le brouillard" . Auparavant, il m'envoie en stage , avec mon futur beau-frère, pour une semaine de formation à Landivisiau, il faut dire que la réception, la préparation avant vol et la mise en œuvre de cet avion n'est pas des plus faciles.
Nous partons donc avec ma superbe auto (une 403) pour la Bretagne, avec pour mission complémentaire de rapporter de la base d'attache, un fusible pour dépanner notre groupe de démarrage qui a déclaré forfait à Tours.
Le stage se passe, une semaine c'est même peu pour apprendre le minimum du Crus...Mais les aventures vont vraiment commencer pour le retour...D'abord, impossible de démarrer la 403, malgré toutes les astuces (manivelle, essence directement dans le carbu, etc...) et finalement ça part...mais bien mollement, en descente on frôle les 120km/h mais la moindre petite côte nous fait retomber à 20 km/h en seconde (la 1ère n'est pas synchronisée sur cette voiture)...Finalement à Louargat (entre Guingamp et Morlaix), forfait...à 20 mètres d'un garage (fermé à cette heure). De la lumière dans la maison d'à côté, à tout hasard je sonne...Bingo, c'est le garagiste. Après s'être assuré que la voiture était "bien de chez nous", on la pousse à l'intérieur, et le verdict tombe tout de suite: plus de compression sauf sur 1 cylindre...Sympa, il nous conduit à la gare suivante pour finir par le train notre escapade.
Arrivée à Tours (j'avais initialement une perm pour Vierzon), je monte à la base pour déposer le précieux fusible, et en ressortant de la base pour aller prendre le bus à quelques centaines de mètres, je tente de faire du stop au cas où...mais non .
D'un seul coup je me retrouve coincé contre un mur, entre l'avant d'une 4L et sa portière arrière gauche que le conducteur s'est empressé d'ouvrir...Le passager descend comme une flèche , me brandit un insigne "police" ...
Et là commence le dialogue de sourds .
"Papiers"...alors là il est servi, j'ai tout ce qu'il faut et même plus, ordre de mission, perm, carte militaire, permis...
"Votre permission est établie de Landivisiau à Vierzon, qu'est-ce que vous faites là" ?
J'explique que je devais passer à la base pour apporter un fusible pour dépanner un Palouste.
"Ah bon...Mais c'est quoi un Palouste" ?
"C'est un groupe de démarrage pour les Crusaders".
"Ah oui, et c'est quoi un Crusader" ?
"C'est un avion de chasse de la Marine"...
"Ah bon, la Marine a des avions maintenant"?
"Ben oui, en fait c'est l'aéronavale..."
Il discute un moment avec son collègue et revient à la charge :
"Expliquez nous pourquoi un Marin arrive à une base de l'Armée de l'Air pour apporter soi-disant un fusible" ?
"Mais je suis affecté à cette base..."
Devant son air totalement incrédule, je lui demande de regarder au dos de ma carte d'identité militaire... et là il a une révélation :
"Ah , il y a des Marins ici" ?
Je lui explique que l'AA assure la formation des pilotes de la Marine , destinés aux avions qui vont sur les porte-avions.
De nouveau discussion avec son collègue, et retour à la charge :
"Vous avez une voiture"? (évidemment il a tous mes papiers)...
Encore un motif d'embrouille, lui expliquer qu'effectivement j'ai une voiture, que je suis tombé en panne en Bretagne, que j'ai fini en train et que je retourne à la gare pour aller -par le train- à Vierzon pour le week-end.
"Ah oui, une 403"...comme par hasard"...
"??? de ma part"...
A noter que chaque fois, il note tout sur un petit carnet, et je dois dire que je commence à en avoir un peu marre, d'autant que je ne sais pas du tout pourquoi je subis cet interrogatoire...
De nouveau palabres avec son collègue (qui est resté au volant, moteur tournant)...et il me rend mes papiers , remonte dans la voiture qui s'apprête à repartir...en me laissant avec mes interrogations. Quitte à subir de nouveau des questions, je leur demande pourquoi ils m'ont "coincé" contre le mur ...et là on m'explique enfin : au niveau de l'endroit où je faisais du stop en marchant, était stationnée...une 403, voiture volée qui était sous surveillance par nos deux "compères"...comme quoi il n'est pas bon d'être au mauvais endroit, au mauvais moment.
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Avant d'arriver à ce récit, il faut "recadrer" les circonstances.
Avril ou mai 1971, notre patron (le Mt Mécaé Dorange dont j'ai déjà parlé), qui s'apprête à poser la casquette, me désigne pour prendre sa suite comme responsable de l'accueil Crusader. En effet ces superbes engins sont de temps en temps déroutés sur Tours, quand la base de Landivisiau est "dans le brouillard" . Auparavant, il m'envoie en stage , avec mon futur beau-frère, pour une semaine de formation à Landivisiau, il faut dire que la réception, la préparation avant vol et la mise en œuvre de cet avion n'est pas des plus faciles.
Nous partons donc avec ma superbe auto (une 403) pour la Bretagne, avec pour mission complémentaire de rapporter de la base d'attache, un fusible pour dépanner notre groupe de démarrage qui a déclaré forfait à Tours.
Le stage se passe, une semaine c'est même peu pour apprendre le minimum du Crus...Mais les aventures vont vraiment commencer pour le retour...D'abord, impossible de démarrer la 403, malgré toutes les astuces (manivelle, essence directement dans le carbu, etc...) et finalement ça part...mais bien mollement, en descente on frôle les 120km/h mais la moindre petite côte nous fait retomber à 20 km/h en seconde (la 1ère n'est pas synchronisée sur cette voiture)...Finalement à Louargat (entre Guingamp et Morlaix), forfait...à 20 mètres d'un garage (fermé à cette heure). De la lumière dans la maison d'à côté, à tout hasard je sonne...Bingo, c'est le garagiste. Après s'être assuré que la voiture était "bien de chez nous", on la pousse à l'intérieur, et le verdict tombe tout de suite: plus de compression sauf sur 1 cylindre...Sympa, il nous conduit à la gare suivante pour finir par le train notre escapade.
Arrivée à Tours (j'avais initialement une perm pour Vierzon), je monte à la base pour déposer le précieux fusible, et en ressortant de la base pour aller prendre le bus à quelques centaines de mètres, je tente de faire du stop au cas où...mais non .
D'un seul coup je me retrouve coincé contre un mur, entre l'avant d'une 4L et sa portière arrière gauche que le conducteur s'est empressé d'ouvrir...Le passager descend comme une flèche , me brandit un insigne "police" ...
Et là commence le dialogue de sourds .
"Papiers"...alors là il est servi, j'ai tout ce qu'il faut et même plus, ordre de mission, perm, carte militaire, permis...
"Votre permission est établie de Landivisiau à Vierzon, qu'est-ce que vous faites là" ?
J'explique que je devais passer à la base pour apporter un fusible pour dépanner un Palouste.
"Ah bon...Mais c'est quoi un Palouste" ?
"C'est un groupe de démarrage pour les Crusaders".
"Ah oui, et c'est quoi un Crusader" ?
"C'est un avion de chasse de la Marine"...
"Ah bon, la Marine a des avions maintenant"?
"Ben oui, en fait c'est l'aéronavale..."
Il discute un moment avec son collègue et revient à la charge :
"Expliquez nous pourquoi un Marin arrive à une base de l'Armée de l'Air pour apporter soi-disant un fusible" ?
"Mais je suis affecté à cette base..."
Devant son air totalement incrédule, je lui demande de regarder au dos de ma carte d'identité militaire... et là il a une révélation :
"Ah , il y a des Marins ici" ?
Je lui explique que l'AA assure la formation des pilotes de la Marine , destinés aux avions qui vont sur les porte-avions.
De nouveau discussion avec son collègue, et retour à la charge :
"Vous avez une voiture"? (évidemment il a tous mes papiers)...
Encore un motif d'embrouille, lui expliquer qu'effectivement j'ai une voiture, que je suis tombé en panne en Bretagne, que j'ai fini en train et que je retourne à la gare pour aller -par le train- à Vierzon pour le week-end.
"Ah oui, une 403"...comme par hasard"...
"??? de ma part"...
A noter que chaque fois, il note tout sur un petit carnet, et je dois dire que je commence à en avoir un peu marre, d'autant que je ne sais pas du tout pourquoi je subis cet interrogatoire...
De nouveau palabres avec son collègue (qui est resté au volant, moteur tournant)...et il me rend mes papiers , remonte dans la voiture qui s'apprête à repartir...en me laissant avec mes interrogations. Quitte à subir de nouveau des questions, je leur demande pourquoi ils m'ont "coincé" contre le mur ...et là on m'explique enfin : au niveau de l'endroit où je faisais du stop en marchant, était stationnée...une 403, voiture volée qui était sous surveillance par nos deux "compères"...comme quoi il n'est pas bon d'être au mauvais endroit, au mauvais moment.
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pingouin nostalgique- Permanent
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Re: TOURS (1976-2000)
Tu étais tombé dans le panier à salades...
Patrick le SCOUARNEC- Administrateur - Responsable du foyer
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Re: TOURS (1976-2000)
eh les gars...ayant été du métier je et je suis
En tout cas belle anecdote
J L si tu en as d'autres suis preneur....
En tout cas belle anecdote
J L si tu en as d'autres suis preneur....
jean-paul- Fondateur et Administrateur
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Re: TOURS (1976-2000)
pour ma part 2 ans chez les gonfleurs a Papeete, un petit groupe d AERO au milieu d un tas d Aviateur. mais les postes clés entre nos mains ( chef de bar ,comité des fetes , adjoint a la gamelle ...)tout pour le moral du personnel
latrube-jc- Permanent
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jean-paul- Fondateur et Administrateur
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Re: TOURS (1976-2000)
Une petite anecdote (véridique comme toutes les autres...)
En fin d'après-midi , peut-être même plus tard... nous arrivent par surprise 2 Crusader qui n'ont pas pu se poser à Landi, piste "rouge". Les pilotes: 2 OMS si je me souviens bien, Muller et Bassinet (est-ce le même qui a fini 4 galons et s'est crashé en 1987 à St Junien (Haute Vienne)sur un Cap 10 à l'occasion d'un meeting aérien ?)...
Évidemment il ne peuvent pas repartir de suite sur Landi, et demandent un hébergement pour la nuit à la BA 705.
Je les accompagne... en tenue de vol, casque et combinaison anti G à pose, à l'hébergement...et là, aucune place disponible, c'était à l'époque où des Mirage destinés à je ne sais plus quel pays, étaient stockés sous haute surveillance à Tours, et les place étaient prises par des compagnies de gardes mobiles.
Pour plaisanter, le responsable me dit ( devant nos deux chasseurs ) : les seules places qui restent, c'est...en prison.
Pas tombées dans l'oreille d'un (de deux) sourds, les 2 à l'unisson " OK, on prend"...
C'est comme ça que j'ai accompagné 2 pilotes de Crus ...en prison pour la nuit, et le plus marrant de l'histoire, c'est que le Sergent de garde cette nuit là à la prison était un mécano du Germas que je connaissais, et qui nous a accueilli en pyjama, avec un bonnet de nuit à pompon... je vous affirme que, bien que loufoque, cette anecdote est véridique. On est loin des pilotes de chasse très "prout prout" avec les lunettes de soleil (Ray Ba.n) pour ne pas les citer) et le petit foulard blanc...
En fin d'après-midi , peut-être même plus tard... nous arrivent par surprise 2 Crusader qui n'ont pas pu se poser à Landi, piste "rouge". Les pilotes: 2 OMS si je me souviens bien, Muller et Bassinet (est-ce le même qui a fini 4 galons et s'est crashé en 1987 à St Junien (Haute Vienne)sur un Cap 10 à l'occasion d'un meeting aérien ?)...
Évidemment il ne peuvent pas repartir de suite sur Landi, et demandent un hébergement pour la nuit à la BA 705.
Je les accompagne... en tenue de vol, casque et combinaison anti G à pose, à l'hébergement...et là, aucune place disponible, c'était à l'époque où des Mirage destinés à je ne sais plus quel pays, étaient stockés sous haute surveillance à Tours, et les place étaient prises par des compagnies de gardes mobiles.
Pour plaisanter, le responsable me dit ( devant nos deux chasseurs ) : les seules places qui restent, c'est...en prison.
Pas tombées dans l'oreille d'un (de deux) sourds, les 2 à l'unisson " OK, on prend"...
C'est comme ça que j'ai accompagné 2 pilotes de Crus ...en prison pour la nuit, et le plus marrant de l'histoire, c'est que le Sergent de garde cette nuit là à la prison était un mécano du Germas que je connaissais, et qui nous a accueilli en pyjama, avec un bonnet de nuit à pompon... je vous affirme que, bien que loufoque, cette anecdote est véridique. On est loin des pilotes de chasse très "prout prout" avec les lunettes de soleil (Ray Ba.n) pour ne pas les citer) et le petit foulard blanc...
pingouin nostalgique- Permanent
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Date d'inscription : 18/05/2010
Age : 74
Re: TOURS (1976-2000)
il ne manque plus que les photos d'époque, c'est dommage que tu n'ai pu immortaliser la chose...
jean-paul- Fondateur et Administrateur
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Age : 71
Re: TOURS (1976-2000)
Pour PN
Il me semble que c'étaient des avions Mirage V à destination d'Israêl qui étaient sous embargo gardés par des Gendarmes Mobile . A Tours ces Gendarmes Mobiles furent aussi longtemps des habitués du cantonnement sur la base assurant la sécurité à Joué les Tours du château du "seigneur" de la région qui fut Président de la République.
HATOUP
Il me semble que c'étaient des avions Mirage V à destination d'Israêl qui étaient sous embargo gardés par des Gendarmes Mobile . A Tours ces Gendarmes Mobiles furent aussi longtemps des habitués du cantonnement sur la base assurant la sécurité à Joué les Tours du château du "seigneur" de la région qui fut Président de la République.
HATOUP
Invité- Invité
Re: TOURS (1976-2000)
Je pense que tu as raison Hatoup, je ne voulais pas me prononcer sur le pays mais c'est bien à celui-ci que je pensais.
Encore une petite anecdote qui me revient à l'esprit , il y avait toujours un petit esprit de "compétition" entre l'AA et nous, quand des chasseurs un peu plus "pointus" que les T33 faisaient une escale sur la base.Le "jeu" consistait à demander au pilote (quand celui-ci était "abordable", ce qui n'était pas toujours le cas...) de faire un décollage un peu moins "sage" qu'en temps normal.
Un jour nous voyons arriver un Crus avec un pilote que nous connaissions, Sedzinski, son grade ? Je pense qu'il était EV . Aucun problème, le lendemain au départ, à peine les roues avaient quitté le sol, rentrée de train, puis il nous a gratifié d'un superbe tonneau "au ras des pâquerettes" suivi d' une montée à la verticale "pleins pots post combustion"...
Pas de bol , le Commandant en second de la base de Tours sortait juste de son T33 à ce moment...inutile de dire qu'il a foncé sur le téléphone et nous avons appris quelques temps après qu'un comité d'accueil attendait notre pilote à Landivisiau...environ 25 minutes plus tard. Ça avançait bien, le Crus...
Par la suite, on nous a confirmé que ce pilote était un habitué de ce genre d'exercice, ce qui nous a un peu rassurés...
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Encore une petite anecdote qui me revient à l'esprit , il y avait toujours un petit esprit de "compétition" entre l'AA et nous, quand des chasseurs un peu plus "pointus" que les T33 faisaient une escale sur la base.Le "jeu" consistait à demander au pilote (quand celui-ci était "abordable", ce qui n'était pas toujours le cas...) de faire un décollage un peu moins "sage" qu'en temps normal.
Un jour nous voyons arriver un Crus avec un pilote que nous connaissions, Sedzinski, son grade ? Je pense qu'il était EV . Aucun problème, le lendemain au départ, à peine les roues avaient quitté le sol, rentrée de train, puis il nous a gratifié d'un superbe tonneau "au ras des pâquerettes" suivi d' une montée à la verticale "pleins pots post combustion"...
Pas de bol , le Commandant en second de la base de Tours sortait juste de son T33 à ce moment...inutile de dire qu'il a foncé sur le téléphone et nous avons appris quelques temps après qu'un comité d'accueil attendait notre pilote à Landivisiau...environ 25 minutes plus tard. Ça avançait bien, le Crus...
Par la suite, on nous a confirmé que ce pilote était un habitué de ce genre d'exercice, ce qui nous a un peu rassurés...
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pingouin nostalgique- Permanent
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Patrick le SCOUARNEC- Administrateur - Responsable du foyer
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