GRONDEUR (1892-1925)
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Torpilleur de haute mer LE GRONDEUR
GRONDEUR Torpilleur de haute mer type Coureur (1892-1925)
Chantier :
Forges & Chantiers de la Méditerranée, Graville, Le Havre
Commencé : 10.12.1891
Mis à flot : 13.02.1892
Terminé : 1892
En service : 04.1892
Retiré : 10.11.1925
Caractéristiques : 130 t ; 1 750 cv ; 45,5 x 4,4 x 1,5 m ; plans Thornycroft ; en acier ; 2 chaudières ; 2 hélices ; 23 nœuds ; 25 h.
Armement : II de 47 + II TLT.
Source:http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/Forum-Pages-d-Histoire-aviation-marine/marine-1914-1918/torpilleur-grondeur-sujet_1001_1.htm
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Source:http://www.archeosousmarine.net/belgier.html
Chantier :
Forges & Chantiers de la Méditerranée, Graville, Le Havre
Commencé : 10.12.1891
Mis à flot : 13.02.1892
Terminé : 1892
En service : 04.1892
Retiré : 10.11.1925
Caractéristiques : 130 t ; 1 750 cv ; 45,5 x 4,4 x 1,5 m ; plans Thornycroft ; en acier ; 2 chaudières ; 2 hélices ; 23 nœuds ; 25 h.
Armement : II de 47 + II TLT.
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BRAI Alain- Permanent
- Messages : 25800
Date d'inscription : 02/07/2010
Age : 80
Re: GRONDEUR (1892-1925)
Merci Alain, mais quand on voit que ce genre de bateau était qualifié comme servant en "haute mer", on peut imaginer que les équipages devaient avoir souvent les pieds mouillés.
jym- Navigateur
- Messages : 406
Date d'inscription : 17/06/2010
Age : 68
Re: GRONDEUR (1892-1925)
Sur la photo du jour il se trouve en baie de Txingundi à Hendaye
Jean-Paul- Fondateur et Administrateur
- Messages : 28403
Date d'inscription : 17/05/2010
Age : 70
Re: GRONDEUR (1892-1925)
Si tu es intéressé JYM
Outre les torpilleurs 'numérotés', la Marine française fait construire à partir de 1884 des unités plus importantes qualifiées d'abord de 'torpilleurs éclaireurs' puis de 'haute mer' car censés pouvoir accompagner les escadres
Source:http://greec.free.fr/word/les%20torpilleurs.htm
La navigation devait tenir de la baignoire des sous marins
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Source:http://recherches.historiques-leconquet.over-blog.com/35-index.html
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Outre les torpilleurs 'numérotés', la Marine française fait construire à partir de 1884 des unités plus importantes qualifiées d'abord de 'torpilleurs éclaireurs' puis de 'haute mer' car censés pouvoir accompagner les escadres
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La navigation devait tenir de la baignoire des sous marins
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BRAI Alain- Permanent
- Messages : 25800
Date d'inscription : 02/07/2010
Age : 80
Re: GRONDEUR (1892-1925)
Au sujet d'Augustin NORMAND
Mais c'est surtout dans la construction des bâtiments extrarapides qu'il obtint les succès les plus brillants et acquit la réputation
universelle qui s'attache à son nom. Les premières éludes de Thornycroft décidèrent de la nouvelle orientation donnée aux recherches de M. Normand ; en 1877, il mit en chantier ses deux premiers torpilleurs et, depuis cette époque, il a doté la marine française de quatre-vingt-dix torpilleurs et contre-torpilleurs, qui tous ont donné aux essais des résultats supérieurs aux conditions stipulées.
C'était une entreprise hardie, à l'époque où M.Normand aborda ce problème que de garantir des vitesses de 18 noeuds avec des coques dont le déplacement ne dépassait pas 30 tonneaux : mais il à quoi il s’engageait et, en effet, le premier torpilleur livré réalisa 18,25 noeuds, le second 19 noeuds et demi. Bientôt vint un autre type un peu plus grand, de 45 tonneaux de déplacement, qui dépassa 20 noeuds aux essais ; puis, par une progression continue, les torpilleurs de premières classe sont arrivés à 93 tonneaux environ et 27 noeuds ; ceux dits de « haute mer », à deux hélices, dont la construction est actuellement suspendue, sont passés de 110 tonneaux et 21 noeuds, en 1889, à près de 160 tonneaux en 1902, et on atteint la vitesse prodigieuse de 31,5 noeuds, qui n’a jamais été dépassée avec des machines ordinaires. Vers 1898, Augustin Normand créa de toutes pièces un type de contre-torpilleur de 55 mètres de longueur et 280 tonneaux de déplacement, dont les résultats furent si satisfaisants que la marine l'adopta définitivement et l'imposa aux autres constructeurs comme à ses propres arsenaux. Les deux derniers contre-torpilleurs livrés par le chantier du Havre, en 1903, sont encore plus puissants : leur déplacement dépasse 300 tonneaux, et leur vitesse aux essais a atteint pour l’Arquebuse, 30,75 noeuds, pour l’Arbalète, 31,37 noeuds.
Source:http://a.normand.modelisme.pagesperso-orange.fr/les_chantiers_Normand.htm
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Source:http://www.grieme.org/pages/espingole.html
Mais c'est surtout dans la construction des bâtiments extrarapides qu'il obtint les succès les plus brillants et acquit la réputation
universelle qui s'attache à son nom. Les premières éludes de Thornycroft décidèrent de la nouvelle orientation donnée aux recherches de M. Normand ; en 1877, il mit en chantier ses deux premiers torpilleurs et, depuis cette époque, il a doté la marine française de quatre-vingt-dix torpilleurs et contre-torpilleurs, qui tous ont donné aux essais des résultats supérieurs aux conditions stipulées.
C'était une entreprise hardie, à l'époque où M.Normand aborda ce problème que de garantir des vitesses de 18 noeuds avec des coques dont le déplacement ne dépassait pas 30 tonneaux : mais il à quoi il s’engageait et, en effet, le premier torpilleur livré réalisa 18,25 noeuds, le second 19 noeuds et demi. Bientôt vint un autre type un peu plus grand, de 45 tonneaux de déplacement, qui dépassa 20 noeuds aux essais ; puis, par une progression continue, les torpilleurs de premières classe sont arrivés à 93 tonneaux environ et 27 noeuds ; ceux dits de « haute mer », à deux hélices, dont la construction est actuellement suspendue, sont passés de 110 tonneaux et 21 noeuds, en 1889, à près de 160 tonneaux en 1902, et on atteint la vitesse prodigieuse de 31,5 noeuds, qui n’a jamais été dépassée avec des machines ordinaires. Vers 1898, Augustin Normand créa de toutes pièces un type de contre-torpilleur de 55 mètres de longueur et 280 tonneaux de déplacement, dont les résultats furent si satisfaisants que la marine l'adopta définitivement et l'imposa aux autres constructeurs comme à ses propres arsenaux. Les deux derniers contre-torpilleurs livrés par le chantier du Havre, en 1903, sont encore plus puissants : leur déplacement dépasse 300 tonneaux, et leur vitesse aux essais a atteint pour l’Arquebuse, 30,75 noeuds, pour l’Arbalète, 31,37 noeuds.
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BRAI Alain- Permanent
- Messages : 25800
Date d'inscription : 02/07/2010
Age : 80
Re: GRONDEUR (1892-1925)
effectivement pour l'époque c'était un exploit de pouvoir atteindre une si grande vitesse.
Jean-Paul- Fondateur et Administrateur
- Messages : 28403
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Age : 70
Re: GRONDEUR (1892-1925)
Jean Paul penses aux "chauffeurs" ils ne devaient pas être a la fête !
BRAI Alain- Permanent
- Messages : 25800
Date d'inscription : 02/07/2010
Age : 80
Re: GRONDEUR (1892-1925)
peut être mais ils étaient à l'abri..à la machine, par contre les bosco...
Jean-Paul- Fondateur et Administrateur
- Messages : 28403
Date d'inscription : 17/05/2010
Age : 70
GRONDEUR (1892-1925)
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Grondeur, Torpilleur de haute mer du type Coureur (1892-1925)
Construit aux chantiers Forges & Chantiers de la Méditerranée à Graville près du Havre.
Mis à flot le 13/02/1892.
Caractéristiques : 130t. 1750cv. 45,5m x 4,4m x 1,5m. Plans de l’ingénieur Thornycroft. Construction en acier. 2 chaudières. 2 hélices. 23 nœuds. 25 hommes.
Armement : 2 canons de 47mm + 2 tubes lance-torpilles.
1893-1895 : affecté à l’Escadre du Nord à Dunkerque, puis sera affecté à Rochefort.
01/01/1897 : est en réserve de 2ème catégorie à Cherbourg.
Avril 1898 : en réserve à Cherbourg.
Novembre 1898 : armé pour Dunkerque.
01/01/1899 : est à la défense mobile de Dunkerque, LV Bécue, commandant.
01/01/1902 : défense mobile de Rochefort.
01/01/1903 : défense mobile de Rochefort.
01/01/1911 : en mission sur la Bidassoa.
1911-1914 : pilotage sur la Bidassoa.
Août 1914 : il est affecté à Brest. (Sauvetage des rescapés du croiseur Kléber).
21 au 23/10/1916 : recueille l'équipage de la goélette Julia incendiée par l'UB-23, (les naufragés au nombre de 166 ont d’abord été recueilli à bord du cargo norvégien Verlande, puis transférés sur le Grondeur).
27/04/1917 : récupère les survivants du vapeur norvégien Verjo coulé par l’UC-36.
(Le Verjo naviguait à 8 nœuds en convoi de 12 bâtiments, faisant route sur le Four quand à 07h30 il a reçu une torpille et a coulé en 30 secondes.
Seul le second mécanicien a aperçu la torpille. Les 10 survivants ont été sauvés par un chalutier anglais qui les a transférés sur le Grondeur à l’ouvert du Four).
23/11/1917 : recueille les naufragés du vapeur anglais Westlands (1) torpillé puis canonné et coulé par l’U-53.
1920-1923 : garde-pêche à Saint Jean de Luz.
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1924-1925 : ponton stationnaire à la Bidassoa.
09/01/1926 : coque vendue à Rochefort pour la démolition.
(1) Le Westlands était en convoi avec le vapeur Hailegbury et escorté par le Monte d’Oro.
Une torpille passe tout d’abord à raser l’étrave à 02h30.
Puis le navire est atteint par une deuxième torpille dans la cale avant. 6 secondes plus tard.
L’équipage évacue dans les canots.
Le capitaine, le second, le chef mécanicien et quelques hommes remontent à bord pour constater les dégâts, mais le sous-marin vient à 200 m et tire 25 coups de canon en 15 minutes sur le vapeur.
(Comme pour le Robert Morris, c’est une débauche incompréhensible de munitions, note l’officier enquêteur).
Tout le monde évacue et le navire coule. Le sous-marin accoste ensuite un canot et pose les questions habituelles.
A 07h50, les embarcations font route à la voile vers la terre. Les naufragés sont recueillis à 11h30 par le Grondeur qui les conduit à l’Aberwrach.
Trois hydravions se sont dirigés vers le lieu du naufrage et l’un d’eux avait averti les naufragés que du secours approchait.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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Grondeur, Torpilleur de haute mer du type Coureur (1892-1925)
Construit aux chantiers Forges & Chantiers de la Méditerranée à Graville près du Havre.
Mis à flot le 13/02/1892.
Caractéristiques : 130t. 1750cv. 45,5m x 4,4m x 1,5m. Plans de l’ingénieur Thornycroft. Construction en acier. 2 chaudières. 2 hélices. 23 nœuds. 25 hommes.
Armement : 2 canons de 47mm + 2 tubes lance-torpilles.
1893-1895 : affecté à l’Escadre du Nord à Dunkerque, puis sera affecté à Rochefort.
01/01/1897 : est en réserve de 2ème catégorie à Cherbourg.
Avril 1898 : en réserve à Cherbourg.
Novembre 1898 : armé pour Dunkerque.
01/01/1899 : est à la défense mobile de Dunkerque, LV Bécue, commandant.
01/01/1902 : défense mobile de Rochefort.
01/01/1903 : défense mobile de Rochefort.
01/01/1911 : en mission sur la Bidassoa.
1911-1914 : pilotage sur la Bidassoa.
Août 1914 : il est affecté à Brest. (Sauvetage des rescapés du croiseur Kléber).
21 au 23/10/1916 : recueille l'équipage de la goélette Julia incendiée par l'UB-23, (les naufragés au nombre de 166 ont d’abord été recueilli à bord du cargo norvégien Verlande, puis transférés sur le Grondeur).
27/04/1917 : récupère les survivants du vapeur norvégien Verjo coulé par l’UC-36.
(Le Verjo naviguait à 8 nœuds en convoi de 12 bâtiments, faisant route sur le Four quand à 07h30 il a reçu une torpille et a coulé en 30 secondes.
Seul le second mécanicien a aperçu la torpille. Les 10 survivants ont été sauvés par un chalutier anglais qui les a transférés sur le Grondeur à l’ouvert du Four).
23/11/1917 : recueille les naufragés du vapeur anglais Westlands (1) torpillé puis canonné et coulé par l’U-53.
1920-1923 : garde-pêche à Saint Jean de Luz.
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1924-1925 : ponton stationnaire à la Bidassoa.
09/01/1926 : coque vendue à Rochefort pour la démolition.
(1) Le Westlands était en convoi avec le vapeur Hailegbury et escorté par le Monte d’Oro.
Une torpille passe tout d’abord à raser l’étrave à 02h30.
Puis le navire est atteint par une deuxième torpille dans la cale avant. 6 secondes plus tard.
L’équipage évacue dans les canots.
Le capitaine, le second, le chef mécanicien et quelques hommes remontent à bord pour constater les dégâts, mais le sous-marin vient à 200 m et tire 25 coups de canon en 15 minutes sur le vapeur.
(Comme pour le Robert Morris, c’est une débauche incompréhensible de munitions, note l’officier enquêteur).
Tout le monde évacue et le navire coule. Le sous-marin accoste ensuite un canot et pose les questions habituelles.
A 07h50, les embarcations font route à la voile vers la terre. Les naufragés sont recueillis à 11h30 par le Grondeur qui les conduit à l’Aberwrach.
Trois hydravions se sont dirigés vers le lieu du naufrage et l’un d’eux avait averti les naufragés que du secours approchait.
Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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Carriere Jean- Permanent
- Messages : 6719
Date d'inscription : 26/10/2018
Age : 65
Jean-Paul et JJMM aiment ce message
Re: GRONDEUR (1892-1925)
Pour la petite histoire, si je ne me trompe pas, Pierre Loti officier de marine du grade de C V et écrivain) fut affecté à bord alors que le Grondeur se trouvait à Hendaye.Il est décédé dans cette ville et est enterré à Saint Pierre d'Oléron, (Ile d'Oléron).
Jean-Paul- Fondateur et Administrateur
- Messages : 28403
Date d'inscription : 17/05/2010
Age : 70
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Oui, Pierre Loti (Lucien Viaud) ...
Jean-Paul a écrit:Pour la petite histoire, si je ne me trompe pas, Pierre Loti officier de marine du grade de C V et écrivain) fut affecté à bord alors que le Grondeur se trouvait à Hendaye.Il est décédé dans cette ville et est enterré à Saint Pierre d'Oléron, (Ile d'Oléron).
Non, Pierre Loti (Julien Viaud), n'a jamais été sur le Grondeur en 1923 !
En 1923 il avait 70 ans et n'était donc plus officier de Marine.
Mais oui, Viaud-Loti est décédé à Hendaye. Mais il n'y a aucune corrélation entre le Grondeur et le décès de Loti.
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Cordialement
JC
Carriere Jean- Permanent
- Messages : 6719
Date d'inscription : 26/10/2018
Age : 65
Re: GRONDEUR (1892-1925)
OK,mais j'ai lu quelque part, qu'il fut affecté sur un bâtiment, qui ne naviguait plus mais qui servait de B N (à l'époque) sur la Bidassoa.
Je crois même qu'il en était le "pacha"...
Donc rien à voir avec le Grondeur.
Je crois même qu'il en était le "pacha"...
Donc rien à voir avec le Grondeur.
Dernière édition par Jean-Paul le Lun 2 Nov 2020 - 14:54, édité 1 fois
Jean-Paul- Fondateur et Administrateur
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Date d'inscription : 17/05/2010
Age : 70
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Décembre 1891, Viaud est le commandant de la canonnière Javelot à Hendaye
Jean-Paul a écrit:OK,mais j'ai lu quelque part, qu'il fut affecté sur un bâtiment, qui ne naviguait plus mais qui servait de B N A (à l'époque) sur la Bidassoa.
Je crois même qu'il en était le "pacha"...
Donc rien à voir avec le Grondeur.
1891 – Décembre, nommé commandant de la canonnière Javelot à Hendaye. Le Javelot est une canonnière en service sur la Bidassoa, frontière naturelle de la France et de l’Espagne. A longueur d’année, il est ancré près du pont international d’Hendaye. Ses déplacements sont nécessairement limités aux côtes françaises, ce bâtiment naval ne peut pas, en l'état, prendre la haute mer.
Carriere Jean- Permanent
- Messages : 6719
Date d'inscription : 26/10/2018
Age : 65
Re: GRONDEUR (1892-1925)
C'est bien ça. Merci Jean.
Jean-Paul- Fondateur et Administrateur
- Messages : 28403
Date d'inscription : 17/05/2010
Age : 70
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