COMMIS AUX VIVRES

Tout le monde reconnait cet insigne de spé:

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C'est Commis aux Vivres...

De mémoire il me semble que les "cuistots" portaient aussi cet insigne de spé...Mais j'ai un doute concernant les "loufiats" , c'est pourquoi je pose la question suivante:

Les maîtres d'hôtel étaient-ils eux aussi assujetti à cet insigne ?

Yes jean paul, j'etais motel et j'avais le meme sur la manche gauche BONJOUR AU COMMIS qui arrive chez toi et soyez sérieux a dancharria car le malaga,porto et sangria se boivent sans modération

oui et je puis te garantir que nous ferons attention car la Policia (coté péninsule Ibérique) veille, et au cas où nous aurions pu passer au travers du filet, nous avons bis répétita avec notre "marée chaussée"...
En tout cas merci B17 d'avoir abondé dans mon sens...comme quoi je n'ai pas encore tout perdu concernant nos spés "royalistes"

Et dessinateur est "considéré" comme fourrier....

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]et voila ce qui se passe coté spanish (c'estle patron d'une copine et c'est une mise en scene avec la participation de la police (j'espere pour eux)sinon il va falloir qu'elle leur amene :avocat et orange) c'etait pour faire la liaison entre la policia et la sangria mais je vois que j'ai pas été compris

oui et qu'el est le rapport avec le sujet ouvert (commis aux vivres? )

Si j'en crois mon "Manuel du Marin" (édition 1963) ce insigne était porté par le personnel "intendance". Donc pour moi, les commis, cuisiniers, loufiats, boulangers, etc....

Je n'ai pas trouvé d'insignes spécifiques...

Bonjour, avec quelques mois de retard je viens m'immiscer dans votre conversation, tu as raison Patrick Toute l'intendance avait cet insigne bien particulière, je crois mais n'en suis pas sûr c'était une feuille de choux , j'espère avoir une réponse.

Feuille d'acanthe
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Merci Alain de rectifier les bêtises que je peux raconter, je vais essayer de m'en souvenir

en belgie [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

J'aime bien le bachis sur le bas du front .......

Mais en tant que commis aux vivres si ce sont des frères je veux savoir .....

Un rapport avec l'insigne ????

Et la longueur des cheveux....Dans notre royale ils ne passaient pas l'inspection des permissionnaires...le aurait fait son boulot, croyez moi....hein Lolo?

Tu coupes toujours les cheveux en quatre ! C'est la barbe ! Et ça tombe toujours pile poil ! Ca finit par mettre de mauvais poil ! Puisque c'est comme ça, je vais réviser les Barbapapa pour l'arrivée de la petite fille...

en parlant de commis.
dans mes souvenirs le repas du jeudi était toujours mieux que les autres jours . pourquoi?
souvent steak frites du moins a Nîmes dans les années 64 65
notre commis doit avoir la reponse

Non J.C. à ma connaissance pas de raison particulière , sinon que le steak frites à toujours eu grand succés , surtout à l'époque des menus unique ... ( c'est ne l'oublions pas le plat national ..)

Dans les autres plats à grand succés tu as depuis tous temps , Couscous , Paella , Choucroute ( la vraie ! ) pas celle en boite 5/1 des S.A.O.

Après on est passé à l'aire des buffets , choix pour le client , mais un des critères principaux souligné pour l'appréciation de la prestation , c'était les frites, et même quand j'ai mis en place des buffets de desserts , des stands de pizzas ( pour un self de 2000 couverts /jour ! ) le jour ou il n'y avait pas de frites était un jour de mécontentement ...

Pour donner une idée sur un effectif de 2000 , on vendait entre 300/400 frites jour et pourtant il y avait 2 plats principaux + grillades au choix ... Et pour les pizzas (préparer devant le client ! ) on en vendait autant que les frites ... Et buffet de légumes à volonté ...
Et j'ai jamais voulu capituler devant les demandes incessantes des diététiciennes.... de supprimer les frites ou de les mettre une fois par semaine .....

En fait pour l'ensemble des services restauration , on fabriquait et servait 10000 repas jour , il y avait 5 selfs différents et distant, la taille allait de 50 cvts pour le plus petit à 2000 pour le plus grand .

Bien sur il n'y avait plus de corvée de pluches ...

Nous travaillons avec des frites fraiche conditionnées sous vide DLC de 21 jours , elles sont très bien ....

Beaucoup des idées avant gardiste appréciée , ont été repris par les sociétés de restauration .... D'ailleurs ça bouge beaucoup dans les cantines scolaires ....de nos jours ....

J'avais oublié , de mon époque les bons menus excepté pour les fêtes , était le dimanche !!! surtout en mer !!!

C'est vrai ce que dit Latrube, à Nîmes , même entre 77 et 90, le jeudi était un jour de repas "amélioré"...et bien sûr le dimanche, surtout que les gens de service avaient la possibilité d'inviter leur épouse à déjeuner de temps en temps ( je ne l'ai jamais fait, le comportement de certains "célibataires géographiques" , leurs commentaires et leurs réflexions déplacées à la limite du vulgaire m'en ont toujours dissuadé).
Une petite anecdote qui me revient : j'avais un bon collègue, mécano comme moi, qui habitait Rochefort et donc y allait environ 1 fois par mois.Il adorait les fleurs et s'était mis en tête d'en faire pousser le long d'un grillage qui séparait le local mécano , du parking avions, et nous avait demandé de lui rapporter des graines si on en avait en trop. Un dimanche où j'étais de service, alors qu'il était remonté dans ses Charentes Maritimes, nous avions eu des langoustines en entrée. Idée : récupérer ces belles graines noires que sont les yeux de ces charmantes bestioles , les mettre dans un sachet et lui donner le lundi à son retour en lui disant que c'était des fleurs grimpantes, donc idéales pour masquer le grillage. Aucun problème, les "graines" en terre, et tous les jours pendant plus d'un mois, arrosage...jusqu'à ce que quelqu'un vende la mèche. Dommage, je pense qu'il aurait pu continuer longtemps à attendre la moindre feuille...

Il aurait peut-être eu un récif de corail...

En tant que cuisinier je peux vous l'assurer les repas amélioré était réservé pour le dimanche et jours fériés, que ce soit en mer ou à terre, du moins 1965 et 1970, du moins dans mes affectations

C'est vrai que le tiers de service le dimanche n'était pas malheureux... Et même souvent gâté... J'ai souvenir de langouste... Oui, vous avez bien lu...

Sans compter les extras, même à l'équipage.
En effet, j'étais chauffeur du bord.
Le dimanche matin, les "bœufs" m'appelaient au carré (j'étais sur le Basque), me donnaient de l'argent et une liste de courses à respecter scrupuleusement.
Avant de partir, je me rendais au poste 4, là où était mon domicile notoirement connu, et je faisais la quête.
Une fois la somme récoltée, je montais dans la "4L, trois vitesses" du bord, et je me mettais en route pour le marché St Martin (je ne suis plu sûr du nom) près de la grande poste.
Arrivé à la porte Cafarelli, les GDM, me demandaient qu'elle était ma mission.
Je leur répondait Extras pour le carré des OM et OMS....pas de souci, ils me laissaient passer.Une fois sur le marché, j'avais ma poissonnière attitrée , qui m'aimait bien et qui rajoutait d'office dans mon cageot de fruits de mer, une à deux bouteilles de blanc qui vont bien avec les ''bébêtes".
Les courses terminées, recontrôle à Cafarelli, puis retour à bord.
Là mon cageot en mains, première halte à la cuisine;..facile elle se trouvait juste à coté de la coupée. Dépôts de quelques araignées, langoustines et mise au frais des bouteilles.
Ensuite direction le carré des OM/OMS.
Ils n'étaient pas "chiens", j'avais toujours droit à mon apéro...
Que du bonheur les dimanches de permanence à bord du ER LE BASQUE.
Quant à notre repas dominical, déjà que le commis nous gâtait (souvent vol au vent ou bouchées à la reine, steak, frittes maison), sans oublier notre extra. Avec mon pote "vieux chouf" nous mangions dans la cuisine avec le cuistot.Et après ce frugal repas, bannette, la sieste était bienvenue, et je croisais les doigts pour ne pas être appelé à la coupée pour une mission...car il ne fait pas oublier que même le dimanche les "bouchons gras" travaillaient à la machine afin que le navire soit sous les feux le plus rapidement possible en cas de besoin...(pour mémoire, c'était la guerre froide ).