Quelques éléments d’actualité
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Quelques éléments d’actualité
Quelques éléments d’actualité en cette fin de semaine,
« Les flux maritimes, cordon ombilical de la mondialisation », article de l’amiral Christophe Prazuck, chef d’état-major de la Marine, dans la revue Politique internationale. (PDF 01)
Le patrouilleur polaire l’Astrolabe a été pris en charge par la Marine nationale lors d’une cérémonie à la Réunion le 11 septembre dernier. Fruit d’une coopération innovante entre la collectivité des terres australes et antarctiques françaises et l’Institut polaire français, l’Astrolabe s’inscrit dans la logique de renouvellement des moyens outre-mer et remplace l’Albatros. Grâce à ses nouvelles capacités de brise-glace (70-80cm), il effectuera des mission de soutien à la logistique antarctique (transport de fret et passagers entre l’Australie et la base scientifique française en Terre Adélie), tout en conservant ses missions militaires de souveraineté dans le sud de l’océan Indien.
Avec l'arrivée de L'Astrolabe et du bâtiment multi-missions Champlain en juin dernier, les forces armées dans la zone sud de l'océan Indien disposent désormais de cinq bâtiments de la Marine nationale pour assurer leurs missions.
v Présent sur la base aérienne projetée au Levant depuis février 2016 l’Atlantique 2 (ATL2), avion de patrouille maritime, vient de franchir le cap symbolique des 2000 heures de vol réalisées dans le cadre de l’opération Chammal. Cela traduit l’importance de l’engagement français au sein de l’opération Inherent Resolve, à travers des missions de renseignement, de surveillance et de reconnaissance. Cet aéronef, initialement conçu pour la traque des sous-marins, s’avère extrêmement utile pour ces missions grâce à d’excellentes capacités d’observation (de la photographie à l’imagerie infra-rouge).
v Le BPC Tonnerre a appareillé pour les Antilles, où il va projeter des capacités humaines et matérielles de reconstruction d’urgence. Au total, ce sont plus de 500 personnes des différentes armées et plus de 1000 tonnes de matériels, dont 116 véhicules et engins des forces armées, qui pourront assurer entre autres, un soutien médical, un soutien en carburant, une capacité d’hébergement, une capacité de reconstruction.
« Les flux maritimes, cordon ombilical de la mondialisation », article de l’amiral Christophe Prazuck, chef d’état-major de la Marine, dans la revue Politique internationale. (PDF 01)
Le patrouilleur polaire l’Astrolabe a été pris en charge par la Marine nationale lors d’une cérémonie à la Réunion le 11 septembre dernier. Fruit d’une coopération innovante entre la collectivité des terres australes et antarctiques françaises et l’Institut polaire français, l’Astrolabe s’inscrit dans la logique de renouvellement des moyens outre-mer et remplace l’Albatros. Grâce à ses nouvelles capacités de brise-glace (70-80cm), il effectuera des mission de soutien à la logistique antarctique (transport de fret et passagers entre l’Australie et la base scientifique française en Terre Adélie), tout en conservant ses missions militaires de souveraineté dans le sud de l’océan Indien.
Avec l'arrivée de L'Astrolabe et du bâtiment multi-missions Champlain en juin dernier, les forces armées dans la zone sud de l'océan Indien disposent désormais de cinq bâtiments de la Marine nationale pour assurer leurs missions.
v Présent sur la base aérienne projetée au Levant depuis février 2016 l’Atlantique 2 (ATL2), avion de patrouille maritime, vient de franchir le cap symbolique des 2000 heures de vol réalisées dans le cadre de l’opération Chammal. Cela traduit l’importance de l’engagement français au sein de l’opération Inherent Resolve, à travers des missions de renseignement, de surveillance et de reconnaissance. Cet aéronef, initialement conçu pour la traque des sous-marins, s’avère extrêmement utile pour ces missions grâce à d’excellentes capacités d’observation (de la photographie à l’imagerie infra-rouge).
v Le BPC Tonnerre a appareillé pour les Antilles, où il va projeter des capacités humaines et matérielles de reconstruction d’urgence. Au total, ce sont plus de 500 personnes des différentes armées et plus de 1000 tonnes de matériels, dont 116 véhicules et engins des forces armées, qui pourront assurer entre autres, un soutien médical, un soutien en carburant, une capacité d’hébergement, une capacité de reconstruction.
jean-paul- Fondateur et Administrateur
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