généralités militaires sur Saint Nazaire - Nantes

il y en a d'autres mais laissez moi reprendre mon souffle, j'ai été "coursé" par des gars du KGB... ils ne m'ont pas eu   
         

C'est plus de notre âge...

Très bel état de la situation, comme d'abitude, par d'HATOUP. Sans oublier, on peut toujours réver, qu'il y en à deux autres en option. SLTS

ils ont quand même une belle gueule ces bpc

Finalement la pub , ça paye .... Très belle photos "risquées " prisent par jacques encore essoufflé , pour nous faire plaisir ...

Ca mérite   

merci Jacques pour cette mission à risques que tu as mené à bien   
Quand à Negrel, je lui conseil de changer de lunettes.

Pour Jean-Paul, mes lunettes très récentes vont très bien, merci. La serie de cinq à six BPC annoncée par les Russes, dans l'exposé de Hatoup n'ai qu'une réponse ironique au caquetements Fabiusiens. Ayant construits la partie arriere Hautement technique de leurs BPC, ils sont très capable de se fournir la partie hoteliere avant. Néanmoins le contrat est et reste de deux commandes ferme et deux en options qu'ils valideront éventuellement aprés leurs essais Militaire . Mais ne révons pas. SLTS

et    j'ai édité ce que j'avais écris pour réponse au post précédent

No comment

Selon une source bien informée, si la situation en Ukraine ne se dégrade pas trop dans les jours à venir, se sont 400 marins russes de tous grades qui devraient arriver le 1 juin prochain à Saint Nazaire, le navire de soutien Smolnyy étant également désigné pour stationner dans le port le temps nécessaire à la formation des équipages à la conduite des deux BPC

HATOUP

No comment moi non plus ... mais je n'en pense pas moins.

espérons que tout va bien se passer dans l'avenir , d'une part afin que nos contrats soient honorés et que la paix subsiste dans cette partie du monde , et qui sait peut être avoir la chance qu'un de nos membres puisse immortaliser et la présence du navire de soutient "Smolnyy" et le départ de ces deux BPC qui quelque part montrent la force de notre technologie   

La Vodka va devenir une denrée rare et servir de monnaie d'échange à St Nazaire...



  

La Vodka, la vraie, celle que j'aime, est P O L O N A I S E

Avec l'herbe de bison...   

Exactement Patrick   

et avec MODÉRATION MESSIEURS........
N'oubliez pas que nous sommes sur un site qui est visité........   

Peut être pas Patrick car contrairement à ce qui avait été prévu au départ , les établissements hôteliers locaux ne seront que  très peu sollicités les marins seront cantonnés sur un navire école datant de 1976 pouvant recevoir 40 Officiers, 126 personnels d'équipage, et 350 élèves. Il est à prévoir compte tenu du contexte diplomatique actuel que les marins  seront très encadrés et les contacts avec la population réduits au strict nécessaire ...... mais des marins restent des marins !

HATOUP

Il va bien falloir lâcher les fauves de temps en temps...

et bon René un bateau datant de 1976.....reste un bateau qui date....
On a ça aussi encore chez nous...rien que certains avisos...c'est dire. Mais bon ça reste le souci des Ruscofs, dès l'instant qu'ils ne mettent pas la zizanie sur nos quais.... 

Oui JP mais voici le navire construit au chantier polonais de Szczecin entrè en service le 30/06/1976

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les conditions d'habitabilité d'un navire de cet âge ne sont déjà pas celles que nous connaissions dans les marines occidentale de l'époque,

Déplacement PC 9150 T 138 m de long,  16.20 m de large, 6.30 m de TE
armement
4 /76 aa AK 276 (2 tourelles doubles), 4 /30 aa AK 230 (2 tourelles doubles), 2 lance roquettes RBU 2500
Propulsion
2 diesels Zgoda Sulzer 12 ZV 40/48 2 hélices 15000 CV

HATOUP

Belle bête..

Dommage qu'il n'envoie pas le SEDOV comme en 2000 à Dunkerque, cela aurait eu de la gueule un quatre-mâts en rade de Saint-Nazaire.

Hollande : le contrat des BPC russes "pas remis en cause" le 12/05/2014
Construit à Saint-Nazaire, le BPC "Vladivostok" achève ses jours-ci ses essais à la mer. (Photo Véronique Couzinou)

La France maintient qu’elle livrera bien les BPC de type Mistral commandés par la Russie malgré les récents développements de la crise ukrainienne. "Ce contrat a été signé en 2011, il s'exécute et il trouvera son aboutissement au mois d'octobre prochain. Pour l'instant, il n'est pas remis en cause", a déclaré, le samedi 10 mai, François Hollande lors d'une conférence de presse avec la chancelière Angela Merkel, à Stralsund, dans le nord de l'Allemagne.

La France n’entend donc pas sacrifier cet important contrat d’armement, qui pèse 1,2 milliard d’euros, alors que les États-Unis font à nouveau pression en ce sens. Le jeudi 8 mai, ils ont réitéré leurs "inquiétudes à propos de cette vente" par la voix de leur secrétaire d'État adjointe pour l'Europe, Victoria Nuland, qui intervenait devant des députés américains.

La France et la Russie ont signé en 2011 ce contrat pour deux navires de type Mistral, le premier devant être livré en octobre 2014, le second en 2015. Fin mars, le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius - qui se rend aux États-Unis les 12 et 13 mai - avait déclaré que Paris pourrait "annuler ces ventes" si Moscou ne changeait pas de politique à l'égard de Kiev. Son collègue à la Défense, Jean-Yves Le Drian, avait ensuite reporté toute décision à octobre.

Aujourd’hui, ces hésitations quant à l’attitude à adopter envers Moscou ne semblent plus de mise. Les autorités françaises ont désormais tranché, a assuré le lundi 12 mai une source gouvernementale à l’agence Reuters. "Les Mistral ne font partie des sanctions de niveau 3. Ils seront livrés", a-t-on expliqué en précisant que le contrat était déjà exécuté et payé, et qu'il entraînerait des dédommagements financiers en cas d'annulation ou de suspension.

"À ce stade, la sanction serait pour la France. C'est trop facile de dire à la France de renoncer à vendre ses bateaux, elle a fait sa part", a ajouté la même source citée par Reuters. L’éventualité d’inclure les deux BPC dans des sanctions de niveau 3 avait pourtant été évoquée au mois de mars par Laurent Fabius.

Au-delà de l'enjeu économique immédiat, la volonté de ne pas rompre les ponts avec Moscou au nom de considérations stratégiques de long terme pèse sans doute lourd dans la décision française.

On peut en trouver l'expression dans un récent point de vue publié dans Le Figaro par l'amiral Alain Oudot de Dainville, chef d'état-major de la Marine de 2005 à 2008. Celui-ci affirme: "L'Union européenne s'oppose à la Russie, mais la Russie fait partie de l'Europe: il vaut mieux composer avec elle, sinon comme le montre l'Histoire, elle se tournera vers la Chine dont la puissance se rapprochera dangereusement de nos frontières."

Les deux BPC russes sont construits par STX à Saint-Nazaire, DCNS assurant la maîtrise d’œuvre du programme. La réalisation de la partie arrière de ces navires a été sous-traitée par STX au groupe russe OSK qui s’apprête à livrer la demi-coque du BPC Sébastopol, mise à l’eau le 30 avril. Le premier BPC, le Vladivostok, achève pour sa part ses essais à la mer avec un équipage de conduite français. Environ 400 marins russes doivent venir en France en juin pour recevoir une formation relative à ces navires.

En complément de ce qu'à mis JP



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