L'ETAT DE STRESS POST-TRAUMATIQUE

Un document que je vous laisse à méditer....

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A suivre...

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A suivre....

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A suivre.

et pour terminer...

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Et des fois que certains d'entre vous seraient intéressés....

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Merci d'avoir eu la patience de lire ce document et d'y apporter vos témoignages en respectant cela va de soit notre charte et notre règlement .
J'espère qu'il vous aura plu.

Très intéressant ! Mais il faut du temps pour le lire d'autant que les agrandissements d'images ne sont pas très nets...

Désolé Patrick, je fais ce que je peux avec ce que j'ai...

Intéressant, il me faudra un peu plus de temps pour tout "ingurgiter" mais je m'y attellerai.
Une anecdote(non personnelle mais réelle): au cours d'un séjour au Tchad , les évènements "tchado tchadiens" ont fait que les chasseurs, le Bréguet Atlantic, son équipage et l'équipe technique ont quitté N'Djamena pour Bangui, en attendant que la situation dans la capitale soit rétablie.
Tout ceci bien sûr, largement décrié par la presse française qui a largement fait état de la lâcheté de l'Armée Française, qui part se réfugier "au calme" dès qu'un pétard mouillé éclate à proximité. Difficile de rétablir la vérité, qui était toute autre, en fait la présence française se justifiait par l'aide apportée au Tchad pour éviter qu'un certain colonel d'un pays voisin et son armée mettent la main sur le pays...mais pas du tout pour s'ingérer dans les règlements de compte entre tchadiens. Les évènements se déroulant à proximité de l'aéroport (où était la résidence du Président de la République), et quelques avions ayant déjà ramassé des balles perdues, il était inutile de s'exposer à plus de dommages "collatéraux".
Cette explication pour en arriver au fait que, peut-être par manque de place dans l'avion (24 places max), une seule personne du détachement est restée sur place, un "vieux" maître principal qui avait pour fonction le "ravitaillement" ( rotation des matériels pour avion à réparer ou arrivant de France). En fait il est resté seul, plusieurs jours, dans le hangar où était notre matériel, dormant et mangeant sur place, sans aucun armement pour se défendre ( ça avait déjà été demandé lors d'un autre détachement, mais on nous avait répondu que c'était trop dangereux pour des pingouins et qu'on risquait de se mettre une balle dans un pied...c'est possible... en tout cas c'est véridique). Ce maître principal, à force d'entendre les impacts des projectiles sur les tôles du hangar et dans l'incapacité de savoir ce qui se passait dehors (interdit de se montrer), a fait une jaunisse , et est décédé peu mois après son retour en France. Coïncidence ? En tout cas je ne pense pas qu'il ait bénéficié d'un quelconque soutien psychologique, qui lui aurait peut-être fait le plus grand bien.

Trés interressant ce document. France 3 a consacre une émission « Pièces à conviction » au « Syndrome Afghan : les soldats oubliés de la France ». Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian qui participait à cette émission a parlé de la prise en charge de ces militaires atteint par ce syndrome.