LOUISE MARIE - F931 (2008-20xx)

Bravo à nos Belges!

ZM/FN en action, c'est pas du char !...

Pas la peine de les réveiller, puisqu'il y a neuf chances sur dix que les présumés pirates car ils ont réussi à se débarasser de leur armement compromettant soient déjà relachés et prêts à repartir pour de nouveaux raids ...... comme dans 85% des cas de capture.
On en rirait si le sujet n'était pas aussi grave .........

HATOUP

Guy, comme quoi notre Forum est au top de l'info...

Guy, comme quoi notre Forum est au top de l'info... moi!!!!jp;je n'en ai jamais douté !!!![Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

L'appareillage du bateau ne s'est pas déroulé aussi sereinement qu'il est présenté dans cet article au ton officiel. En effet, à cause du manque d'effectifs qui empêche la bonne rotation des équipages, quelques matelots ont manifesté ouvertement à la presse la grogne sociale qui sévit chez les naviguants militaires belges. Les rotations normales qui prévoient un roulement de marins en congés pendant que d'autres sont à quai et d'autres à la mer ne sont plus assurées pour les départ en campagne de longue durée (6 mois). Pour le moment il ne semble pas y avoir de solution au problème qui pourrait remettre en question la participation Belge aux futures opérations Atalante

HATOUP

c est toutes les marines européenne qui prennent l eau

C'est le moins que nous puissions dire car les marines Australienne et Néo zélandaise connaissent en pire ce genre de situation et il parait qu'au Canada c'est pas terrible non plus

HATOUP

et plouf,les armes à l'eau,des malades à soigner.....et bientôt relachés

La frégate Louise Marie arrête à nouveau des pirates somaliens

La frégate "Louise Marie" de la marine belge, qui participe pour la troisième fois à l'opération européenne Atalanta de lutte contre la piraterie somalienne, a arrêté samedi après-midi cinq pirates présumés au large de la Somalie, a annoncé dimanche le ministère de la Défense.

"Les cinq suspects sont à bord de la Louise-Marie en attendant une possible poursuite judiciaire et sont soignés pour les symptômes de déshydratation, d'épuisement et de malnutrition qu'ils présentent. Un des suspects sera d'ailleurs opéré par le chirurgien du navire pour un abcès au poignet", a précisé la Défense dans un communiqué.

La frégate, engagée depuis le 23 novembre dans l'opération Atalanta (ou Eunavfor), a intercepté samedi vers 15h00 (locales) un skiff avec ces cinq pirates présumés à son bord au large des côtes somaliennes. "Ce skiff fait très probablement partie du groupe de pirates qui a tenté d'attaquer le navire marchand MV Papua fin novembre", ajoute le texte. L'équipe d'abordage de la Louise-Marie a été déployée afin d'arrêter les cinq pirates suspects. Le skiff même a été embarqué à bord de la frégate. Ce skiff était équipé d'une échelle et d'un grappin d'abordage, mais aucune arme n'a été trouvée, poursuit la Défense.

Le "MV Papua" avait rapporté le 28 novembre dernier, à 500 miles nautiques des côtes somaliennes, avoir été approché par deux skiffs équipés d'armes, de grappins et d'échelles. Ces skiffs bénéficiaient probablement de l'appui logistique d'un "navire mère" dans la zone. L'équipe de sécurité privée qui se trouvait à bord a été en mesure de prévenir l'abordage. Depuis cet incident, un des skiffs a pu régulièrement être localisé par un avion de patrouille maritime de l'Eunavfor. Le 12 décembre, alors qu'il quittait le port de Mombasa (Kenya) après une escale, le "Louise-Marie" a reçu la mission de rechercher et d'investiguer ce groupe de pirates, selon la Défense.

Force for good

Alors que la frégate se rendait vers la probable zone d'opération de ce groupe, un avion de patrouille maritime suédois a pu relocaliser une nouvelle fois le skiff suspect le 15 décembre vers midi. L'hélicoptère Amouette III du "Louise-Marie" était sur place dans l'heure, suivi de près par la frégate elle-même et son équipe d'abordage ("boarding team"). Dès son arrivée, le "Louise-Marie" a donné des "avertissements verbaux" au skiff dont l'équipage a rapidement levé les bras en l'air. L'équipe d'abordage a arrêté les cinq pirates suspects, a précisé la Défense. Selon le commandant de la frégate, le capitaine de frégate Hans Huygens, "cette action montre clairement que les unités de l'opération Atalanta restent nécessaire au large de la Corne de l'Afrique afin de dissuader la piraterie, mais aussi comme force for good".

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] enfin,le moral est "bon"[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Gros malaise sur la frégate Louise-Marie (26.01.2013)

Pas de courrier depuis un mois. “La colère gronde” sur la frégate en mission dans l’océan Indien

DÉFENSE OCÉAN INDIEN “Plusieurs membres d’équipage nous ont signalé qu’ils n’avaient jamais vu une telle organisation ! Ce n’est pas digne de notre armée.” Le SLFP tire la sonnette d’alarme. Selon Gilles Van Oosthuize, du syndicat libéral, “il y a un gros malaise sur le Loma”.

Le Loma, ou Louise-Marie, est cette frégate belge partie le 7 novembre de Zeebrugge en direction de l’océan Indien. Elle participe depuis le 23 novembre – et jusqu’au 9 février – à la mission européenne Atalanta de lutte contre la piraterie.

Le moral des troupes ne serait donc pas au beau fixe. “Les gens n’ont plus reçu de courrier depuis le 10 décembre dernier”, reprend le syndicaliste. “Ça fait plus d’un mois et demi ! Et pendant ce temps-là, il y a eu les fêtes. L’un de nos hommes me racontait que son enfant lui avait envoyé un dessin… Il l’attend toujours… La colère gronde !”

Justement, la Défense semble avoir trouvé une solution. “Dans le cadre de notre participation à l’EATC (gestion européenne de vols militaires, NdlR), nous allons envoyer le courrier vers Djibouti grâce à un DC-10 néerlandais”, annonçait hier le porte-parole Olivier Severin.

Il précise que “l’avion arrivera sur place mardi prochain. Le Loma, lui, doit y faire escale le 7 février. Je comprends la frustration des membres de l’équipage, mais ils vont enfin recevoir leur courrier et leurs cadeaux”.

Pourquoi une telle attente ? Le SLFP pointe des “questions budgétaires”. “L’armée avait déjà eu du mal à trouver suffisamment de personnel pour partir” en raison des problèmes d’effectifs à la marine. “Mais il n’y a pas que ça. Manque de matériel, organisation bancale,… Un autre exemple : le Loma est parti sans avoir un réservoir plein ! Il a dû naviguer les premiers jours à l’économie !”

La Défense rejette ces accusations. En ce qui concerne le courrier, “nous avons eu d’autres priorités opérationnelles, comme des rotations ou l’engagement au Mali. Or, il faut envoyer non seulement du courrier, mais aussi du matériel. Le tout représente un volume conséquent de 5 m³. Impossible à mettre dans le Falcon du ministre qui a rendu visite au Loma fin décembre”.

Quant au réservoir à moitié vide, “le commandant de la frégate ne nous a rien confirmé”, poursuit M. Severin. “C’est à lui de gérer ces éléments. Il nous a effectivement dit que, pour rejoindre l’océan Indien, il a navigué en vitesse de croisière (18 nœuds). Il n’y a que pour les missions urgentes qu’il passe à grande vitesse (29 nœuds). C’est ce qu’on appelle une gestion en bon père de famille…”

Antoine Clevers ([Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]) hummmmmmmmmmmm!!!!!!

Espérons qu'il n'y avait pas de fruits de mer pour le réveillon dans les colis restés en souffrance ........ mais heureusement que les marins ont eu le plaisir de recevoir leur ministre pour les fêtes!
Par contre, je ne vois pas trop ce que la marine belge vient faire dans l'engagement au Mali au point d'avoir des contraintes opérationnelles si importantes

HATOUP

Pour ce qui est du courrier depuis le 7 novembre, il y a effectivement un sérieux problème aussi bien avec ce bâtiment qu'avec d'autres ... .
J'avais envoyé à la mi-novembre une quinzaine de courriers adressés à autant de bâtiment de la Marine Belge, et plus exactement aux commandants de navires comme cela se fait dans le cadre marcophile de la Poste Navale, pour qu'ils me réexpédient les plis joints avec les cachets de leurs bâtiments. A ma grande surprise, plusieurs courriers ne sont manifestement pas parvenus à leurs destinataires et ont été ouverts par la poste militaire de Zeebrugge qui me les a renvoyés tous ensembles dans une grande enveloppe, toutefois avec les cachets de chaque bâtiment.
En temps normal et comme cela a été le cas pour d'autres bâtiments y compris à cette période, chaque navire m'a renvoyé les plis le concernant.
J'en déduis donc que pour plusieurs navires le service postal n'avait pas été prévu ... et que le courrier, d'apparence administratif, venant de l'étranger et adressés aux officiers du bord ont été ouverts "au cas où ... !" par la poste militaire. C'est bien la première fois que je constate un tel cafouillage avec la poste militaire belge.
Comme vous pouvez le constater sur le pli du Louise Marie que j'ai mis, il porte bien le cachet du bâtiment mais pas le cachet postal car il m'a été expédié avec d'autres, directement par la poste militaire de Zeebrugge.

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çà est une fois une belle frééééégatte !!  Source FB

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Un nouveau mât

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On voit bien que cà est la crise en Belgique aussi  on fait des portes étanches en bois de fer !!

Source FB

  c'est pas la crise !!!!!!

POLINAR a écrit:  c'est pas la crise !!!!!!

Faudrait que tu nous essplique comment çà fonctionne entre les Néerlandais et vous question marine