TIGRE (1926-1954)

- "Les contre-torpilleurs de 2400 tonnes du type JAGUAR" par Jean LASSAQUE
MARINES Editions

- "Les escorteurs français de l'après-guerre - tome 1 : les rescapés du programme naval" par Bertrand MAGUEUR"
LELA PRESSE - Navires & Histoire HS n° 4 de 02/2006

- "100 ans de torpilleurs" par Luc FERON
MARINES Editions - Marines Magazine HS n° 1 de 04/2002 "100 ans de Marine Française - torpilleurs, contre-torpilleurs, escorteurs, cuirassés"

- "Les navires français 1939-1945 en images" par Jean MOULIN
MARINES Editions - 2005

- "La détection" par Jean MOULIN
MARINES Editions - Marines & Forces Navales HS n° 12 de 06/2005 "1939-1945 armes & équipements"

- "8 mai 1945 en Algérie : Sétif, l'"autre" 8 mai..." par Jean-Yves BROUARD
LELA Presse - Navires & Histoire n° 59 de 04/2010

- "La renaissance de la Marine française 1922-1939" T1 "1920-1930" par Patrick HOUY-BEZAUX et Jacques DUCROS
LELA Presse - Navires et Histoire HS n° 12 de 12/2010

- profil couleur 1945 page 98
LELA Presse - Navires & Histoire n° 5 de 12/2000

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Tigre, Contre-torpilleur de 2400t du type Jaguar (1926-1954)

Construit aux Ateliers et Chantiers de Bretagne à Nantes.
Commencé le 18/09/1923. Mis à flot le 02/08/1924. Mis en service le 07/02/1926.

Caractéristiques : 2150t. 50 000cv. 126,8m x 11,1m x 4,1m. 2 turbines à engrenages Rateau-Bretagne. 5 chaudières du Temple. 2 hélices. 35 nœuds. 195 hommes (209 hommes en temps de guerre).
Armement : 5 canons de 130mm + 2 canons de 75mm + 6 tubes LT de 533mm + 4 mortiers + 2 grenadeurs.

Symboles de coque : 3, G3, 6, 7, 11, 10, 13, X41

Lors des essais le Tigre atteint la vitesse de 36,7 nœuds.

1927 : affecté à la 5ème Division de contre-torpilleurs (DCT).
10/10/1932 : affecté à la 9ème DCT.
01/10/1934 : affecté à la 11ème DCT.
12/04/1937 : affecté à la 1ère DCT.
15/09/1938 : affecté à la 4ème DCT.

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1939 : l'armement est modifié : 1 canon de 130mm et les 2 de 75mm sont débarqués et remplacés par 8 mitrailleuses lourdes Hotchkiss de 13,2mm Anti-Aériens (AA).
Septembre 1939 : désarmé à Toulon.
27/11/1942 : retrouvé intact aux appontements de Milhaud après le sabordage de la flotte il est remis aux italiens par les allemands sous le nom de FR23.
28/10/1943 : restitué par l’Italie il est réparé à Bizerte.
24/12/1943 : rallie Alger.
07/01/1944 : arrive à Casablanca pour subir une modernisation.
20/04/1944 : avarié au combat contre des avions au large de la Corse.
29/04/1944 au 21/05/1944 : réparé à Bizerte.
1945 : affecté à la Division des écoles en Méditerranée, port de Toulon.
10/07/1948 : désarmé il ne sera jamais réarmé.
04/01/1954 : condamné.
1955 : démolition au Brégaillon.

Sources :
« Dictionnaire des bâtiments de la flotte de guerre française de Colbert à nos jours, Tome II », 1870-2006, CF Jean-Michel Roche
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